© Shutterstock

Le trouble - Le trouble de la rêverie compulsive se caractérise par une tendance à passer bien plus de temps que la normale à rêvasser, parfois pendant des heures.

© Shutterstock

Un mécanisme d'adaptation - Bien que ce ne soit pas encore une maladie officiellement reconnue, le trouble de la rêverie compulsive est considéré comme un mécanisme d'adaptation pour les personnes souffrant de troubles mentaux, comme l'anxiété.

© Shutterstock

Le terme "compulsif" - En effet, le terme "compulsif" désigne une manière négative ou malsaine de faire face à un problème ou de le traiter.

© Shutterstock

Un trouble invalidant -

Le trouble de la rêverie compulsive peut être très invalidant, amenant les personnes touchées à négliger leur travail, leurs amitiés et leurs relations.

© Shutterstock

Les chevauchements avec d'autres troubles -

Bien qu'il puisse y avoir des chevauchements avec d'autres troubles mentaux et neurologiques, des preuves indiquent que le trouble de la rêverie compulsive constitue un problème distinct qui mérite d'être traité en tant que tel.

© Shutterstock

Les symptômes -

Les symptômes du trouble de la rêverie compulsive se concentrent exclusivement sur la rêverie et se divisent en deux catégories : le comportement de rêverie et les émotions associées à cette expérience.

© Shutterstock

L'intensité - Concernant le comportement de rêverie, certaines caractéristiques peuvent indiquer un caractère compulsif. La première est l'intensité : ces rêveries peuvent être particulièrement vives et détaillées.

© Shutterstock

La complexité - La rêverie associée à ce trouble est souvent beaucoup plus complexe qu'un rêve ordinaire. Elle se caractérise fréquemment par des intrigues élaborées et des personnages récurrents qui apparaissent dans plusieurs rêveries.

© Shutterstock

La durée -

Il est important de souligner que ce phénomène peut durer beaucoup plus longtemps qu'une rêverie classique, certaines personnes étant capables de rêvasser pendant des heures.

© Shutterstock

L'intention et la déconnection - Enfin, il y a l'intention et la déconnexion. Les personnes peuvent souvent rêvasser de manière délibérée, ce qui peut les amener à se couper complètement du monde qui les entoure.

© Shutterstock

Les sentiments négatifs - Les personnes atteintes de ce trouble ressentent souvent des émotions négatives envers leur condition, ce qui peut avoir des conséquences sur divers aspects de leur vie.

© Shutterstock

La culpabilité -

Tout d'abord, des sentiments de culpabilité ou de honte peuvent survenir. Les personnes atteintes de ce trouble éprouvent souvent de l'embarras face à leur situation, surtout lorsque celle-ci perturbe leur vie quotidienne.

© Shutterstock

L'impact sur le quotidien -

En effet, les personnes touchées par ce trouble peuvent opter pour la rêverie plutôt que de passer du temps avec autrui ou de se consacrer à leur travail ou à leurs études.

© Shutterstock

La compulsion - Certaines personnes ressentent également le besoin ou l'obligation de rêvasser et peuvent éprouver de la frustration ou de la détresse si elles n'en ont pas l'occasion.

© Shutterstock

Les recherches - En effet, certaines études indiquent que le trouble de la rêverie compulsive pourrait être considéré comme une forme de dépendance.

© Shutterstock

Les tentatives pour moins rêvasser -

Enfin, certaines personnes atteintes de ce trouble peuvent consacrer beaucoup de temps à tenter de réduire leurs rêveries, souvent sans succès.

© Shutterstock

Les causes -

Les causes de ce trouble ne sont pas encore bien établies. Cependant, il est généralement considéré comme une réaction à des problèmes de santé mentale, tels que la dépression et l'anxiété.

© Shutterstock

Les personnes à risque -

En effet, des recherches indiquent que ce trouble est plus fréquent chez les personnes ayant déjà reçu un diagnostic de trouble de la santé mentale.

© Shutterstock

L'âge -

L'âge peut également jouer un rôle dans ce trouble. Certaines études montrent que le trouble de la rêverie compulsive est plus courant chez les jeunes, notamment chez les adolescents et les jeunes adultes.

© Shutterstock

Les traumatismes ou les abus -

Enfin, il peut y avoir un lien entre ce trouble et des antécédents de traumatismes ou d'abus.

© Shutterstock

Pas tous les individus touchés - En effet, de nombreuses personnes confrontées à ce problème ont vécu des traumatismes ou des abus, souvent durant leur enfance. Cependant, cela ne s'applique pas à tous les individus touchés.

© Shutterstock

Le diagnostic -

Le trouble de la rêverie compulsive n'étant pas encore reconnu comme une maladie clinique, il ne peut pas être officiellement diagnostiqué par un médecin.

© Shutterstock

Les indices -

Cependant, les médecins peuvent identifier ce problème en utilisant des questionnaires et des échelles de diagnostic pour des troubles associés, comme le TDAH ou le TOC.

© iStock

Le traitement -

Étant donné qu'il n'existe pas de méthode officielle pour diagnostiquer ce trouble, il n'y a pas non plus de traitement standard à ce jour. Cependant, cela ne signifie pas qu'aucune forme de traitement n'est envisageable.

© Shutterstock

Les maladies similaires -

Actuellement, les médecins abordent ce trouble en s'appuyant sur les similitudes qu'il présente avec des maladies apparentées, même si elles sont distinctes.

© Shutterstock

La TCC -

Le traitement principal pour les personnes souffrant de trouble de la rêverie compulsive est la thérapie cognitivo-comportementale (TCC), qui est également utilisée pour traiter des troubles comme les TOC et l'anxiété.

© Shutterstock

Comment ça marche ? -

Dans le cadre de ce trouble, la TCC a pour objectif d'aider les individus à comprendre les raisons de leur comportement et à découvrir des stratégies pour y faire face.

© Shutterstock

Les autres types de thérapie -

Selon les circonstances, d'autres types de thérapies psychologiques peuvent également être utiles aux personnes confrontées à ce trouble.

© Shutterstock

Parlez-en à votre médecin -

Si vous pensez être atteint du trouble de la rêverie compulsive, sachez que votre médecin est la personne la mieux qualifiée pour vous conseiller sur les solutions possibles.

© Shutterstock

Chaque cas est unique -

Chaque personne étant unique, votre médecin prendra en compte vos antécédents et votre situation personnelle pour vous recommander le traitement le plus approprié.

Sources : (Cleveland Clinic)

Voir aussi : Santé : ces erreurs que vous faites sans le savoir

© Shutterstock