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Les chirurgiens sont des professionnels qui ont nos vies entre leurs mains, toujours est-il qu'il y a quelques faits au sujet de leur profession qui risquent de vous déplaire. Des taux de réussite des chirurgies à l'impact que la fatigue a sur les chirurgiens, il y a de nombreux facteurs qui peuvent avoir un impact sur la prise en charge du patient. Comprendre ces facteurs méconnus peut vous aider, ainsi que tous les patients autour du monde, à prendre de meilleures décisions.

Voici venu le temps de découvrir les secrets choquants des chirurgiens et des soins postopératoires. Cliquez sur la galerie.

▲Les chirurgiens sont beaucoup mieux payés, certains jusqu'à dix fois plus, pour effectuer une opération plutôt que de vous traiter de manière non invasive. Tant le chirurgien que l'hôpital existent grâce à cet argent et sont donc motivés à opter pour l'option de traitement la plus coûteuse.

▲Les chirurgiens veulent que vous restiez leur patient et vous fassiez soigner dans leur clinique ou hôpital. Il est donc possible qu'ils gardent secrètes certaines opérations qui pourraient être pratiquées simplement parce qu'ils ne savent pas les réaliser. Ce n'est, bien évidemment, pas une pratique éthique, mais cela arrive néanmoins.

▲Beaucoup de chirurgiens partent pour le week-end et qu'ils ne soient donc pas dans les parages pour s'assurer que votre phase postopératoire se passe bien si vous vous êtes fait opérer en fin de semaine. Si vous ne voulez pas être suivi par un autre médecin, songez, si vous le pouvez, à programmer votre opération en début de semaine.

▲Il arrive que certaines choses ne se passent pas selon le plan et que les chirurgiens craquent. Que ce soit en jetant des instruments au sol ou en faisant des caprices, les chirurgiens ont des trop-pleins émotionnels comme tout autre être humain. Cela peut être assez effrayant, cependant, si c'est vous (ou un proche) qui êtes sur la table d'opération.

▲Les chirurgiens évoquent souvent le fait que s'il y a eu une erreur au cours d'une opération et qu'ils ont été en mesure d'y remédier, ils ne la mentionnent pas au patient. Les chirurgiens sont d'avis qu'il n'est pas nécessaire de provoquer un stress inutile au patient.

▲Bien qu'un chirurgien expérimenté doive toujours être présent, les apprentis chirurgiens inexpérimentés doivent bien commencer quelque part pour s'entraîner. L'idée demeure effrayante !

▲Un patient hostile et trop curieux peut faire que les infirmiers ou même les chirurgiens finissent par éviter sa chambre. Les chirurgiens n'ont pas le temps de répondre à des douzaines de questions ou de s'occuper d'un patient anxieux ou agacé, c'est pourquoi ils risquent de moins vous rendre visite ou de façon plus expéditive.

▲Les hôpitaux veulent faire toujours plus d'argent, et l'argent vient des opérations et des chirurgiens qui prescrivent toujours plus d'examens. Avant de ne vous engager à passer par le bloc opératoire, assurez-vous d'avoir une seconde opinion auprès d'une autre clinique ou d'un autre hôpital.

▲Si votre chirurgien a un accord avec un vendeur en particulier, et qu'il ou elle reçoit une commission pour chacune des ventes d'un produit, alors ils auront forcément intérêt à recommander cette marque. Demandez à votre chirurgien pourquoi il recommande cet appareil, cette marque, nommément.

▲Les chirurgiens ont des vies et doivent toujours se présenter au travail, comme tout un chacun. Ce qui n'empêche que leur travail est d'avoir d'autres vies entre leurs mains. Cela peut valoir le coup de demander à votre chirurgien s'il est en forme avant qu'il ne vous opère. Même s'il risque de ne pas répondre avec sincérité, cela lui donne la chance de pouvoir en parler.

▲Les anciens chirurgiens, les plus expérimentés, doivent être "présents" en salle d'opération, mais cela peut avoir une signification extrêmement large. Il est possible que les chirurgiens expérimentés en question participent à l'opération ou qu'ils ne fassent qu'une apparition par heure dans le bloc. Impossible de savoir à quel traitement vous aurez le droit.

▲Les chirurgiens font (habituellement) de leur mieux, des examens préliminaires à la salle d'opération. Mais cela n'empêche pas qu'ils sont terrifiés d'une éventuelle poursuite en justice au cas où ils auraient manqué une étape ou mal établi un diagnostic.

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Si un patient quitte un hôpital et que quelque chose d'affreux se produit par la suite, le chirurgien et l'hôpital peuvent être mis en cause. Ils peuvent se voir demander pourquoi une opération en particulier n'a pas été effectuée plus tôt. C'est donc à cause de la peur de l'avenir et de l'inconnu que les chirurgiens effectuent des opérations aussi tôt que possible.

▲Si votre chirurgien vous cache son taux de complications postopératoires, c'est soit qu'il vous cache quelque chose, soit qu'il n'a pas effectué suffisamment d'opérations pour en avoir un. Même les meilleurs des chirurgiens font parfois des erreurs. Prenez le temps de demander à votre chirurgien, ou vos chirurgiens, comment se sont passées leurs précédentes opérations.

▲Vous assurez de bien connaître les soins postopératoires est essentiel étant donné qu'ils jouent un rôle essentiel dans votre rémission et votre bien-être à la suite de votre opération. Votre chirurgien sera-t-il disponible à la suite de votre opération ?

▲L'expertise de votre anesthésiste est, littéralement, vitale et vous assure d'être à l'aise au cours de votre chirurgie. Être au fait de leur expertise et de leur approche est donc tout aussi important que de connaître les qualifications de votre chirurgien.

▲Le formulaire de consentement énumère les complications possibles, mais les chirurgiens nourrissent généralement d'autres inquiétudes liées à leur expérience et aux spécificités de votre cas.

▲La chirurgie n'est pas la solution à tous les problèmes, des pathologies impliquant des douleurs de dos impliquent souvent des prises en charge alternatives ou des traitements sur le long terme.

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Les recommandations peuvent être motivées politiquement ou faites pour rendre service à un ami. Prenez conseil auprès d'une autre partie dans la mesure où cela pourrait sauver votre vie.

▲Les chirurgiens sont souvent des personnes débordées. L'idée de vous voir accompagné d'un proche leur rappelle que vous êtes également quelqu'un d'important et que vous avez des proches qui tiennent à vous.

▲Quand vous entendez que vous avez besoin de subir une opération, renseignez-vous systématiquement sur les options non chirurgicales alternatives. Il y a des chances qu'un chirurgien préfère vous opérer par défaut, alors défendez votre cause.

▲Le cancer est un sujet très sérieux. Si vous avez besoin d'un peu de temps pour prendre une décision mûrement réfléchie, ne laissez pas un médecin un peu trop pressé ou un chirurgien vous influencer au détriment de votre bien-être ou du temps dont vous avez besoin pour prendre une décision.

▲Si vous avez des questions qui n'ont pas été clairement élucidées, demandez à voir les notes du médecin en charge de votre dossier médical. Les informations seront peut-être difficiles à saisir, mais au moins, elles se tiennent juste sous vos yeux.

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Le fait d'être en surpoids ou d'être obèse peut poser des défis en phase préopératoire. En effet, les veines ne sont pas aussi visibles que chez les autres patients, ce qui peut rendre plus difficile la pose d'une perfusion intraveineuse (IV). Les infections postopératoires sont également plus probables.

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C'est absolument terrifiant. Les personnes qui ont nos vies entre leurs mains sont d'avis que d'autres chirurgiens et médecins ne devraient pas être en droit d'exercer la médecine.

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Assurez-vous de scrupuleusement suivre les recommandations de votre chirurgien à la suite de votre opération dans la mesure où cela peut sérieusement impacter votre rémission.

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Les centres hospitaliers universitaires (C.H.U) sont souvent à la pointe de la technologie et des connaissances et peuvent donc s'avérer plus innovants que les hôpitaux ou les cliniques.

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Les chirurgiens et les médecins engagent des consultants en gestion pour les aider à prendre certaines décisions. Cela peut parfois conduire à des décisions éthiquement discutables, en plaçant les avantages monétaires avant votre santé.

Sources : (The Healthy)

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