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Provisions pour l'au-delà
- Pour être gratifiés d'une vie après la mort prospère, les anciens Égyptiens croyaient qu'il était nécessaire de faire des provisions pour remplir la tombe et de préserver l'enveloppe charnelle grâce à la momification.
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Momification
- Le processus de momification était crucial pour s'assurer que le corps demeure intact pour la vie éternelle. De nombreuses méthodes étaient employées en fonction de la richesse du défunt, allant du simple lavage pour les plus démunis à des procédures très complexes pour les plus riches ; toutes visaient à assurer la conservation du corps dans l'au-delà.
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Royauté
- Pour les riches et les membres de la famille royale, le processus de momification durant le Nouvel Empire (1539-1075 av. J.-C.) prenait près de 70 jours. Il s'agissait de laver, purifier, drainer le sang, retirer les organes et sécher le corps en utilisant du natron, un sel particulier.
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Cœur
- Le cœur était le seul organe qui restait dans le corps, car les Égyptiens croyaient qu'il était au centre de l'intégrité humaine. Tous les autres organes étaient retirés et conservés dans des jarres dédiées, tant que le cerveau était jeté : il était considéré comme étant inutile.
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Touches finales
- Le corps séché était rembourré avec des bandes de tissu pour conserver une apparence humaine, puis du maquillage était appliqué. Une fois complètement sec et traité à l'aide d'huiles et de résines, le corps était enveloppé de lin : il était fin prêt à être placé dans sa tombe.
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Tombes
- Les tombes des personnalités étaient souvent préparées longtemps avant la mort : les tombes étaient des passerelles vers l'au-delà. Elles étaient remplies de nourriture, de vin, d'habits, d'accessoires et d'autres indispensables.
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Momies animales
- Les momies animales (animaux de compagnie et animaux sacrés) étaient également placées dans des tombes. Ces animaux devaient tenir compagnie dans l'au-delà, procurer de la nourriture à l'infini, transmettre des prières aux Dieux ou symboliser ces derniers.
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7 / 30 Fotos
Jugement
- Malgré toutes ces préparations, les Égyptiens croyaient que la vie éternelle n'était pas garantie. Les défunts devaient passer par l'épreuve du jugement de l'âme : leurs actions sont jugées afin de déterminer s'ils étaient dignes de la vie éternelle.
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Ka et Ba
- Les Égyptiens croyaient en le Ka (la force vitale) et le Ba (l'âme). Le Ka quittait le corps au moment de la mort et le Ba y restait jusqu'au moment des funérailles. Le Ba faisait ainsi le voyage vers l'au-delà, guidé par les sorts et les amulettes afin d'atteindre la salle de jugements.
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Au-delà
- Dans l'au-delà, le dieu Horus (représenté avec une tête de faucon) guide le Ba au travers les dangers (tels que les porte qui cachait des flammes et des cobras), afin de mener le défunt à son jugement. Le voyage était semé d'épreuves qui visaient à tester la pureté de l'âme.
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10 / 30 Fotos
Anubis
- Le rituel du jugement à proprement parler était supervisé par Anubis, le dieu à tête de chacal et dieu de l'embaumement et du monde souterrain. Le cœur du défunt était placé sur un plateau et confronté à la plume de Maât (symbole de vérité et d'harmonie cosmique) sur l'autre plateau de la balance pour déterminer la pureté de l'âme du défunt.
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11 / 30 Fotos
Confession négative
- La Confession négative était une étape essentielle de l'épreuve du jugement. Le défunt devait se prosterner devant la déesse Maât et affirmer qu'ils n'avaient pas commis de péchés, tels que le vol, le meurtre ou avoir causé de mal à autrui. C'était leur dernière chance de prouver leur mérite afin d'accéder à la vie éternelle.
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Osiris et les autres dieux
- Osiris (roi de l'au-delà, à gauche sur la photo), aux côtés des autres dieux, faisait office de juge au cours du jugement. Si le cœur était plus lourd que la plume (indicateur d'une vie pleine de péchés), alors, l'âme était condamnée à la damnation éternelle et à finir entre les mains d'Âmmout, la "dévoreuse des âmes impures".
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Âmmout
- La déesse Âmmout est effrayante, elle est traditionnellement représentée avec la tête d'un crocodile, le corps et les pattes avant d'un lion et l'arrière-train, ainsi que les pattes arrière d'un hippopotame. Son rôle est de dévorer le cœur des défunts qui s'étaient mal conduits sur terre et ainsi d'annihiler tout espoir d'accéder à l'au-delà.
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14 / 30 Fotos
Réunion
- Si le cœur s'équilibre avec la plume, le Ka et le Ba se réunissent pour le Akh, l'esprit glorifié du défunt. Cette transformation permet au défunt d'entrer dans le Champs d'Ialou (ou Champs des Roseaux), le domaine d'Osiris.
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Champs d'Ialou
- Les Champs d'Ialou était représenté comme étant une terre utopique, dotée de magnifiques montagnes et rivières, sur laquelle les défunts se réuniraient avec leurs proches et leurs animaux de compagnie. Cette vision idyllique était la quintessence de la quête des Égyptiens pour accéder à la vie éternelle et au bonheur.
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16 / 30 Fotos
Évolution
- Le concept de momification a évolué au fil des siècles, les techniques devenant de plus en plus sophistiquées au fur et à mesure que les Égyptiens affinaient leurs connaissances en matière de conservation du corps. Cette évolution était motivée par leur désir de perfectionner le processus permettant d'assurer la vie éternelle.
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Cœur dans la culture
- Les Égyptiens croyaient fermement que le cœur était le siège de l'âme, et cette croyance a influencé nombre de leurs pratiques, notamment la préservation du cœur pendant la momification et son rôle dans le processus de jugement.
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Tombes en guise de porte d'accès vers l'au-delà
- Les tombes élaborées de l'élite étaient souvent richement décorées et remplies de trésors. Contrairement à d'autres religions, ces tombes n'étaient pas seulement des lieux de repos, mais des portes d'accès à une vie nouvelle et éternelle.
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Art et littérature
- Le voyage dans le monde souterrain a été représenté par les anciens Égyptiens sous diverses formes d'art, de littérature et de textes religieux. Ces représentations servaient de guides aux défunts et les aidaient à s'orienter dans l'au-delà.
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20 / 30 Fotos
Osiris et Anubis
- Le rôle des dieux dans l'au-delà (en particulier Osiris et Anubis) était au cœur des croyances des Égyptiens. Ces divinités étaient considérées comme des protecteurs et des juges, veillant à ce que seuls les justes puissent accéder à la vie éternelle, tandis que les indignes étaient punis.
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21 / 30 Fotos
Sorts et amulettes de protection
- L'utilisation de sorts, d'amulettes et de peintures funéraires visait à protéger et à guider le défunt à travers les dangers du monde souterrain. On leur attribuait des propriétés magiques susceptibles d'aider à surmonter les obstacles et à atteindre l'au-delà.
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22 / 30 Fotos
Aspiration universelle
- Le concept de vie éternelle n'était pas réservé à l'élite ; il s'agissait d'une aspiration universelle pour tous les Égyptiens. Ce système de croyances leur apportait réconfort et espoir, les aidant à relever les défis de la vie avec l'assurance que la mort n'était pas une fin en soi.
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23 / 30 Fotos
Faire face aux incertitudes
- L'importance que les Égyptiens accordaient à l'au-delà n'était pas seulement le reflet de leurs croyances religieuses, mais aussi un moyen de faire face aux incertitudes de la vie et de la mort. En se préparant à l'au-delà, ils cherchaient à exercer un contrôle sur leur destin et à s'assurer d'une issue positive.
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24 / 30 Fotos
Inégalités sociales
- La pratique de la momification et les rituels élaborés qui y sont associés étaient réservés à ceux qui pouvaient se les offrir, ce qui souligne simplement les inégalités sociales qui existaient dans l'Égypte ancienne. Mais même les pauvres cherchaient à s'assurer une place dans l'au-delà, en utilisant des méthodes beaucoup plus simples.
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25 / 30 Fotos
Merveilles architecturales - Les tombes des pharaons, telles que les pyramides et la vallée des rois, comptent parmi les exemples les plus célèbres de l'architecture égyptienne. Bien que ces structures aient été conçues pour protéger les défunts et leur assurer un voyage réussi dans l'au-delà, le monde moderne les considère aujourd'hui comme des merveilles architecturales venues d'une époque aujourd'hui révolue.
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26 / 30 Fotos
Cycle de la vie
- La croyance des Égyptiens dans l'interconnexion de la vie, de la mort et de l'au-delà a influencé leurs interactions avec le monde et leur environnement. Ils considéraient la vie comme faisant partie d'un cycle plus large, et la mort n'était rien d'autre qu'une transition vers une nouvelle existence plutôt qu'une fin en soi.
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27 / 30 Fotos
Infinité
- Pour les anciens Égyptiens, la mort ne signifiait pas un départ définitif de la vie terrestre. Les morts pouvaient également revenir spirituellement dans le monde des vivants pour participer à ses plaisirs, en profitant des offrandes de nourriture et de l'attention des serviteurs.
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28 / 30 Fotos
Influence moderne
- L'héritage des croyances des anciens Égyptiens sur la mort et l'au-delà continue d'influencer la culture moderne. Leurs pratiques et leurs concepts sont étudiés et admirés depuis des siècles, offrant un aperçu de l'une des civilisations les plus fascinantes du monde. Sources : (National Geographic) (History Today) (Britannica) (World History Encyclopedia) Découvrez aussi : Égypte antique : l'histoire étonnante de Toutankhamon
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Provisions pour l'au-delà
- Pour être gratifiés d'une vie après la mort prospère, les anciens Égyptiens croyaient qu'il était nécessaire de faire des provisions pour remplir la tombe et de préserver l'enveloppe charnelle grâce à la momification.
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Momification
- Le processus de momification était crucial pour s'assurer que le corps demeure intact pour la vie éternelle. De nombreuses méthodes étaient employées en fonction de la richesse du défunt, allant du simple lavage pour les plus démunis à des procédures très complexes pour les plus riches ; toutes visaient à assurer la conservation du corps dans l'au-delà.
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Royauté
- Pour les riches et les membres de la famille royale, le processus de momification durant le Nouvel Empire (1539-1075 av. J.-C.) prenait près de 70 jours. Il s'agissait de laver, purifier, drainer le sang, retirer les organes et sécher le corps en utilisant du natron, un sel particulier.
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Cœur
- Le cœur était le seul organe qui restait dans le corps, car les Égyptiens croyaient qu'il était au centre de l'intégrité humaine. Tous les autres organes étaient retirés et conservés dans des jarres dédiées, tant que le cerveau était jeté : il était considéré comme étant inutile.
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Touches finales
- Le corps séché était rembourré avec des bandes de tissu pour conserver une apparence humaine, puis du maquillage était appliqué. Une fois complètement sec et traité à l'aide d'huiles et de résines, le corps était enveloppé de lin : il était fin prêt à être placé dans sa tombe.
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5 / 30 Fotos
Tombes
- Les tombes des personnalités étaient souvent préparées longtemps avant la mort : les tombes étaient des passerelles vers l'au-delà. Elles étaient remplies de nourriture, de vin, d'habits, d'accessoires et d'autres indispensables.
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Momies animales
- Les momies animales (animaux de compagnie et animaux sacrés) étaient également placées dans des tombes. Ces animaux devaient tenir compagnie dans l'au-delà, procurer de la nourriture à l'infini, transmettre des prières aux Dieux ou symboliser ces derniers.
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7 / 30 Fotos
Jugement
- Malgré toutes ces préparations, les Égyptiens croyaient que la vie éternelle n'était pas garantie. Les défunts devaient passer par l'épreuve du jugement de l'âme : leurs actions sont jugées afin de déterminer s'ils étaient dignes de la vie éternelle.
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Ka et Ba
- Les Égyptiens croyaient en le Ka (la force vitale) et le Ba (l'âme). Le Ka quittait le corps au moment de la mort et le Ba y restait jusqu'au moment des funérailles. Le Ba faisait ainsi le voyage vers l'au-delà, guidé par les sorts et les amulettes afin d'atteindre la salle de jugements.
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9 / 30 Fotos
Au-delà
- Dans l'au-delà, le dieu Horus (représenté avec une tête de faucon) guide le Ba au travers les dangers (tels que les porte qui cachait des flammes et des cobras), afin de mener le défunt à son jugement. Le voyage était semé d'épreuves qui visaient à tester la pureté de l'âme.
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Anubis
- Le rituel du jugement à proprement parler était supervisé par Anubis, le dieu à tête de chacal et dieu de l'embaumement et du monde souterrain. Le cœur du défunt était placé sur un plateau et confronté à la plume de Maât (symbole de vérité et d'harmonie cosmique) sur l'autre plateau de la balance pour déterminer la pureté de l'âme du défunt.
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Confession négative
- La Confession négative était une étape essentielle de l'épreuve du jugement. Le défunt devait se prosterner devant la déesse Maât et affirmer qu'ils n'avaient pas commis de péchés, tels que le vol, le meurtre ou avoir causé de mal à autrui. C'était leur dernière chance de prouver leur mérite afin d'accéder à la vie éternelle.
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Osiris et les autres dieux
- Osiris (roi de l'au-delà, à gauche sur la photo), aux côtés des autres dieux, faisait office de juge au cours du jugement. Si le cœur était plus lourd que la plume (indicateur d'une vie pleine de péchés), alors, l'âme était condamnée à la damnation éternelle et à finir entre les mains d'Âmmout, la "dévoreuse des âmes impures".
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Âmmout
- La déesse Âmmout est effrayante, elle est traditionnellement représentée avec la tête d'un crocodile, le corps et les pattes avant d'un lion et l'arrière-train, ainsi que les pattes arrière d'un hippopotame. Son rôle est de dévorer le cœur des défunts qui s'étaient mal conduits sur terre et ainsi d'annihiler tout espoir d'accéder à l'au-delà.
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Réunion
- Si le cœur s'équilibre avec la plume, le Ka et le Ba se réunissent pour le Akh, l'esprit glorifié du défunt. Cette transformation permet au défunt d'entrer dans le Champs d'Ialou (ou Champs des Roseaux), le domaine d'Osiris.
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Champs d'Ialou
- Les Champs d'Ialou était représenté comme étant une terre utopique, dotée de magnifiques montagnes et rivières, sur laquelle les défunts se réuniraient avec leurs proches et leurs animaux de compagnie. Cette vision idyllique était la quintessence de la quête des Égyptiens pour accéder à la vie éternelle et au bonheur.
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Évolution
- Le concept de momification a évolué au fil des siècles, les techniques devenant de plus en plus sophistiquées au fur et à mesure que les Égyptiens affinaient leurs connaissances en matière de conservation du corps. Cette évolution était motivée par leur désir de perfectionner le processus permettant d'assurer la vie éternelle.
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Cœur dans la culture
- Les Égyptiens croyaient fermement que le cœur était le siège de l'âme, et cette croyance a influencé nombre de leurs pratiques, notamment la préservation du cœur pendant la momification et son rôle dans le processus de jugement.
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Tombes en guise de porte d'accès vers l'au-delà
- Les tombes élaborées de l'élite étaient souvent richement décorées et remplies de trésors. Contrairement à d'autres religions, ces tombes n'étaient pas seulement des lieux de repos, mais des portes d'accès à une vie nouvelle et éternelle.
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Art et littérature
- Le voyage dans le monde souterrain a été représenté par les anciens Égyptiens sous diverses formes d'art, de littérature et de textes religieux. Ces représentations servaient de guides aux défunts et les aidaient à s'orienter dans l'au-delà.
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Osiris et Anubis
- Le rôle des dieux dans l'au-delà (en particulier Osiris et Anubis) était au cœur des croyances des Égyptiens. Ces divinités étaient considérées comme des protecteurs et des juges, veillant à ce que seuls les justes puissent accéder à la vie éternelle, tandis que les indignes étaient punis.
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Sorts et amulettes de protection
- L'utilisation de sorts, d'amulettes et de peintures funéraires visait à protéger et à guider le défunt à travers les dangers du monde souterrain. On leur attribuait des propriétés magiques susceptibles d'aider à surmonter les obstacles et à atteindre l'au-delà.
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Aspiration universelle
- Le concept de vie éternelle n'était pas réservé à l'élite ; il s'agissait d'une aspiration universelle pour tous les Égyptiens. Ce système de croyances leur apportait réconfort et espoir, les aidant à relever les défis de la vie avec l'assurance que la mort n'était pas une fin en soi.
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Faire face aux incertitudes
- L'importance que les Égyptiens accordaient à l'au-delà n'était pas seulement le reflet de leurs croyances religieuses, mais aussi un moyen de faire face aux incertitudes de la vie et de la mort. En se préparant à l'au-delà, ils cherchaient à exercer un contrôle sur leur destin et à s'assurer d'une issue positive.
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Inégalités sociales
- La pratique de la momification et les rituels élaborés qui y sont associés étaient réservés à ceux qui pouvaient se les offrir, ce qui souligne simplement les inégalités sociales qui existaient dans l'Égypte ancienne. Mais même les pauvres cherchaient à s'assurer une place dans l'au-delà, en utilisant des méthodes beaucoup plus simples.
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Merveilles architecturales - Les tombes des pharaons, telles que les pyramides et la vallée des rois, comptent parmi les exemples les plus célèbres de l'architecture égyptienne. Bien que ces structures aient été conçues pour protéger les défunts et leur assurer un voyage réussi dans l'au-delà, le monde moderne les considère aujourd'hui comme des merveilles architecturales venues d'une époque aujourd'hui révolue.
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Cycle de la vie
- La croyance des Égyptiens dans l'interconnexion de la vie, de la mort et de l'au-delà a influencé leurs interactions avec le monde et leur environnement. Ils considéraient la vie comme faisant partie d'un cycle plus large, et la mort n'était rien d'autre qu'une transition vers une nouvelle existence plutôt qu'une fin en soi.
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Infinité
- Pour les anciens Égyptiens, la mort ne signifiait pas un départ définitif de la vie terrestre. Les morts pouvaient également revenir spirituellement dans le monde des vivants pour participer à ses plaisirs, en profitant des offrandes de nourriture et de l'attention des serviteurs.
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Influence moderne
- L'héritage des croyances des anciens Égyptiens sur la mort et l'au-delà continue d'influencer la culture moderne. Leurs pratiques et leurs concepts sont étudiés et admirés depuis des siècles, offrant un aperçu de l'une des civilisations les plus fascinantes du monde. Sources : (National Geographic) (History Today) (Britannica) (World History Encyclopedia) Découvrez aussi : Égypte antique : l'histoire étonnante de Toutankhamon
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Comment les anciens Égyptiens aspiraient à la vie éternelle
La préparation à l'au-delà débute de son vivant
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Aucune religion sur Terre n'a jamais été capable d'éviter le sujet de la mort, mais si beaucoup d'entre elles se contentent de l'évoquer, les anciens Égyptiens ont, eux, bâti leur foi tout entière autour d'elle. Les prêtres clamaient que la vie terrestre n'était rien de plus que le prélude à la vie éternelle, c'est pour cela que les Égyptiens passaient leur vie entière à attendre ce qui viendrait ensuite.
Mais se préparer à l'au-delà était un défi en soi, et certaines provisions devaient être faites. Quelles étaient les étapes de la préparation à la mort en Égypte antique ? Cliquez sur la galerie pour le découvrir.
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