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Une des régions la plus densément peuplée
- Il y a 2,3 millions de personnes vivant dans la bande de Gaza. Située entre l'Israël et l'Égypte, elle mesure 41 km de long et 10 km de largeur et est considérée comment étant une des régions la plus densément peuplée au monde.
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Le contrôle des zones aériennes, maritimes et aériennes
- Les zones aériennes, maritimes et aériennes de Gaza sont soumises au strict contrôle d'Israël depuis près de deux décennies.
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2 / 30 Fotos
Le blocus de la bande de Gaza
- Avant la guerre, la vie était déjà extrêmement difficile à Gaza en raison du blocus imposé par Israël avec l'appui de l'Égypte.
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3 / 30 Fotos
La situation s'est aggravée après l'attaque israélienne
- Depuis l'attaque du Hamas par Israël, ces restrictions se sont amplifiées et aggravées.
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4 / 30 Fotos
La bande de Gaza en ruine
- Gaza est laissée en ruine suite aux incessantes frappes aériennes israéliennes.
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5 / 30 Fotos
Un niveau de destruction sans précédent
- Le secrétaire général de l'ONU, António Guterres, a récemment déclaré qu'il "[n'avait] jamais vu un tel niveau de destruction que celui observé à Gaza ces derniers mois."
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6 / 30 Fotos
Près de 90 % des habitants se sont déplacés au moins une fois
- L'ONU estime que la guerre a fait se déplacer au moins une fois 90 % de la population gazaouie.
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7 / 30 Fotos
Près de 75 % des infrastructures sont détruites
- Près de 75 % des infrastructures gazaouies sont soit partiellement, soit totalement détruites
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8 / 30 Fotos
Des écoles détruites ou transformées en camp de réfugiés
- D'après l'Organisation des Nations Unies, près de 90 % des écoles ont été détruites, les restes font office de camps de réfugiés temporaires.
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9 / 30 Fotos
Des dizaines de milliers de personnes ont disparu
- Si beaucoup de chiffres officiels sur le nombre de morts ont été rendus publics par le ministère de la Santé de Gaza, des dizaines de milliers de Palestiniens ne sont pas comptabilisés : ils sont présumés morts ou coincés sous les gravats.
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10 / 30 Fotos
Près 92 % des routes sont détruites
- Avec un faible recours civil et la destruction de 92 % des routes primaires de Gaza, trouver et identifier les personnes disparues se révèle être une tâche pratiquement impossible.
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11 / 30 Fotos
Plus de 37 millions de tonnes de débris
- L'ONU a estimé que plus de 37 millions de tonnes de débris jonchent le territoire de la bande de Gaza depuis le début de la guerre.
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12 / 30 Fotos
La plupart des fermes sont détruites
- En plus des bâtiments et des infrastructures essentielles, la majorité des fermes gazaouies ont été détruites. Cela, ajouté au fait qu'Israël empêche l'entrée de toutes denrées sur le territoire, a entraîné une famine de masse.
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13 / 30 Fotos
Une aide limitée
- Les travailleurs humanitaires et les foules de personnes en recherche d'aide ont également été confrontés aux bombardements. Il est arrivé que des largages aériens d'aide humanitaire ont blessé, et même tué des Palestiniens.
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14 / 30 Fotos
Les hôpitaux sont ciblés
- La plupart des professionnels de la santé de la bande de Gaza ont été tués ou blessés. Avec le bombardement des hôpitaux et le manque d'équipements et de ressources, les traitements médicaux ont été réduits au strict minimum.
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15 / 30 Fotos
Une centaine de milliers de personnes blessées
- La destruction d'hôpitaux a fait que les près de 100 000 blessés doivent se débrouiller seuls et tâcher de se remettre sans ressources.
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16 / 30 Fotos
La désignation des zones de sécurité
- E>n décembre 2023, Israël a divisé la bande de Gaza et a ordonné de nombreuses évacuations sans cohérence et a désigné des zones de sécurité.
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17 / 30 Fotos
Les prospectus
- En raison de la destruction des réseaux de télécommunication et des infrastructures électriques, les Gazaouis se fondent sur des prospectus inconsistants largués dans les airs pour décider où ils devraient partir.
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18 / 30 Fotos
La diffusion de la maladie
- La concentration massive des habitants gazaouis dans les zones de sécurité, sans accès à de l'eau potable ou à des traitements médicaux, a résulté dans l'émergence de maladies qui n'étaient plus vues sur le territoire depuis des décennies.
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19 / 30 Fotos
Les zones de sécurité sous attaque
- Ces prétendues zones de sécurité ont également été en proie aux bombardements, générant un désespoir plus grands encore chez les habitants de Gaza.
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20 / 30 Fotos
Le manque d'information
- Le manque de diffusion d'informations officielles laissent les Gazaouis confrontés à des informations contradictoires. Les agences de presse qui tentent de rapporter les activités militaires ont peu de ressources pour s'assurer que les informations atteignent les populations. De plus, de nombreux journalistes palestiniens ont également été la cible d'attaques et les journalistes internationaux ne sont pas autorisés à pénétrer sur le territoire.
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21 / 30 Fotos
L'imagerie satellite
- Les chercheurs américains se sont, dans un premier temps, appuyés sur les données de l'Agence spatiale européenne (ASE) et de la NASA pour cartographier les dégâts.
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22 / 30 Fotos
Les analyses prennent des semaines
- L'analyse des données obtenues par les satellites est très longue. D'après Corey Scher de l'université de la ville de New York, cela peut prendre plusieurs semaines.
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23 / 30 Fotos
Les découvertes sont rapidement caduques
- Le déplacement constant des populations, la pénurie d'eau et de nourriture, plus les bombardements font que les analyses deviennent rapidement caduques.
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24 / 30 Fotos
La destruction de masse
- Le Laboratoire d'Écologie des Conflits de l'université d'État de l'Oregon indique que la gravité des dégâts aujourd'hui observée à Gaza est une des crises les plus graves jamais observée par le laboratoire.
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25 / 30 Fotos
L'espoir d'une amélioration est mince
- Les systèmes d'épuration et sanitaires sont pratiquement inexistants. Les sols ont été contaminés en raison des bombardements et l'accumulation des débris ne laisse que peu d'espoir aux Gazaouis.
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26 / 30 Fotos
Le nettoyage des débris
- L'ONU estime qu'il faudra près de deux décennies pour nettoyer le territoire de tous les déchets accumulés.
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27 / 30 Fotos
Le nord de Gaza
- La récente escalade de la violence dans le nord de Gaza laisse des centaines de milliers de personnes coincées. Le plan supposé d'Israël, appelé "le plan des généraux" ou "plan Eiland", serait de vider la moitié nord de la bande de Gaza. Israël considère toutes les personnes de la région comme étant des combattants, peu importe leur capacité à fuir ; avec une cessation totale de l'aide humanitaire.
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28 / 30 Fotos
Pas de fin en vue
- La fin de la guerre n'est pas en vue, avec l'expansion des bombardements jusqu'au Liban et les menaces d'une guerre régionale qui se profilent, le retour à la vie normale à Gaza ne semble pas imminent, tandis que les bombardements destructeurs sont toujours en cours. Sources : (NPR) (Al Jazeera) (CBS News) (BBC) (United Nations) (Le Monde) (AP News) Découvrez aussi : La guerre entre Israël et le Hamas en 32 images dramatiques
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Une des régions la plus densément peuplée
- Il y a 2,3 millions de personnes vivant dans la bande de Gaza. Située entre l'Israël et l'Égypte, elle mesure 41 km de long et 10 km de largeur et est considérée comment étant une des régions la plus densément peuplée au monde.
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Le contrôle des zones aériennes, maritimes et aériennes
- Les zones aériennes, maritimes et aériennes de Gaza sont soumises au strict contrôle d'Israël depuis près de deux décennies.
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Le blocus de la bande de Gaza
- Avant la guerre, la vie était déjà extrêmement difficile à Gaza en raison du blocus imposé par Israël avec l'appui de l'Égypte.
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La situation s'est aggravée après l'attaque israélienne
- Depuis l'attaque du Hamas par Israël, ces restrictions se sont amplifiées et aggravées.
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La bande de Gaza en ruine
- Gaza est laissée en ruine suite aux incessantes frappes aériennes israéliennes.
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Un niveau de destruction sans précédent
- Le secrétaire général de l'ONU, António Guterres, a récemment déclaré qu'il "[n'avait] jamais vu un tel niveau de destruction que celui observé à Gaza ces derniers mois."
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Près de 90 % des habitants se sont déplacés au moins une fois
- L'ONU estime que la guerre a fait se déplacer au moins une fois 90 % de la population gazaouie.
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Près de 75 % des infrastructures sont détruites
- Près de 75 % des infrastructures gazaouies sont soit partiellement, soit totalement détruites
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Des écoles détruites ou transformées en camp de réfugiés
- D'après l'Organisation des Nations Unies, près de 90 % des écoles ont été détruites, les restes font office de camps de réfugiés temporaires.
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Des dizaines de milliers de personnes ont disparu
- Si beaucoup de chiffres officiels sur le nombre de morts ont été rendus publics par le ministère de la Santé de Gaza, des dizaines de milliers de Palestiniens ne sont pas comptabilisés : ils sont présumés morts ou coincés sous les gravats.
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Près 92 % des routes sont détruites
- Avec un faible recours civil et la destruction de 92 % des routes primaires de Gaza, trouver et identifier les personnes disparues se révèle être une tâche pratiquement impossible.
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Plus de 37 millions de tonnes de débris
- L'ONU a estimé que plus de 37 millions de tonnes de débris jonchent le territoire de la bande de Gaza depuis le début de la guerre.
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La plupart des fermes sont détruites
- En plus des bâtiments et des infrastructures essentielles, la majorité des fermes gazaouies ont été détruites. Cela, ajouté au fait qu'Israël empêche l'entrée de toutes denrées sur le territoire, a entraîné une famine de masse.
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Une aide limitée
- Les travailleurs humanitaires et les foules de personnes en recherche d'aide ont également été confrontés aux bombardements. Il est arrivé que des largages aériens d'aide humanitaire ont blessé, et même tué des Palestiniens.
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Les hôpitaux sont ciblés
- La plupart des professionnels de la santé de la bande de Gaza ont été tués ou blessés. Avec le bombardement des hôpitaux et le manque d'équipements et de ressources, les traitements médicaux ont été réduits au strict minimum.
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Une centaine de milliers de personnes blessées
- La destruction d'hôpitaux a fait que les près de 100 000 blessés doivent se débrouiller seuls et tâcher de se remettre sans ressources.
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La désignation des zones de sécurité
- E>n décembre 2023, Israël a divisé la bande de Gaza et a ordonné de nombreuses évacuations sans cohérence et a désigné des zones de sécurité.
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Les prospectus
- En raison de la destruction des réseaux de télécommunication et des infrastructures électriques, les Gazaouis se fondent sur des prospectus inconsistants largués dans les airs pour décider où ils devraient partir.
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La diffusion de la maladie
- La concentration massive des habitants gazaouis dans les zones de sécurité, sans accès à de l'eau potable ou à des traitements médicaux, a résulté dans l'émergence de maladies qui n'étaient plus vues sur le territoire depuis des décennies.
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Les zones de sécurité sous attaque
- Ces prétendues zones de sécurité ont également été en proie aux bombardements, générant un désespoir plus grands encore chez les habitants de Gaza.
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Le manque d'information
- Le manque de diffusion d'informations officielles laissent les Gazaouis confrontés à des informations contradictoires. Les agences de presse qui tentent de rapporter les activités militaires ont peu de ressources pour s'assurer que les informations atteignent les populations. De plus, de nombreux journalistes palestiniens ont également été la cible d'attaques et les journalistes internationaux ne sont pas autorisés à pénétrer sur le territoire.
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L'imagerie satellite
- Les chercheurs américains se sont, dans un premier temps, appuyés sur les données de l'Agence spatiale européenne (ASE) et de la NASA pour cartographier les dégâts.
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Les analyses prennent des semaines
- L'analyse des données obtenues par les satellites est très longue. D'après Corey Scher de l'université de la ville de New York, cela peut prendre plusieurs semaines.
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Les découvertes sont rapidement caduques
- Le déplacement constant des populations, la pénurie d'eau et de nourriture, plus les bombardements font que les analyses deviennent rapidement caduques.
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La destruction de masse
- Le Laboratoire d'Écologie des Conflits de l'université d'État de l'Oregon indique que la gravité des dégâts aujourd'hui observée à Gaza est une des crises les plus graves jamais observée par le laboratoire.
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L'espoir d'une amélioration est mince
- Les systèmes d'épuration et sanitaires sont pratiquement inexistants. Les sols ont été contaminés en raison des bombardements et l'accumulation des débris ne laisse que peu d'espoir aux Gazaouis.
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26 / 30 Fotos
Le nettoyage des débris
- L'ONU estime qu'il faudra près de deux décennies pour nettoyer le territoire de tous les déchets accumulés.
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Le nord de Gaza
- La récente escalade de la violence dans le nord de Gaza laisse des centaines de milliers de personnes coincées. Le plan supposé d'Israël, appelé "le plan des généraux" ou "plan Eiland", serait de vider la moitié nord de la bande de Gaza. Israël considère toutes les personnes de la région comme étant des combattants, peu importe leur capacité à fuir ; avec une cessation totale de l'aide humanitaire.
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Pas de fin en vue
- La fin de la guerre n'est pas en vue, avec l'expansion des bombardements jusqu'au Liban et les menaces d'une guerre régionale qui se profilent, le retour à la vie normale à Gaza ne semble pas imminent, tandis que les bombardements destructeurs sont toujours en cours. Sources : (NPR) (Al Jazeera) (CBS News) (BBC) (United Nations) (Le Monde) (AP News) Découvrez aussi : La guerre entre Israël et le Hamas en 32 images dramatiques
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Que reste-t-il de Gaza ? Bilan des dégâts
L'impact dramatique sur la population gazaouie, les paysages et les infrastructures
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Quelques heures après l'attaque du Hamas au sud de l'Israël le 7 octobre 2023, Israël a initié des frappes aériennes sur la bande de Gaza. Vingt jours plus tard, Israël a entamé son invasion terrestre destructrice : la guerre de Gaza se poursuit depuis lors, provoquant une des crises humanitaires les plus graves avec près de deux millions d'habitants qui se retrouvent dans l'obligation de fuir pour échapper aux bombardements constants. Si les attaques du Hamas ont causé la mort d'environ 1 200 personnes et la prise d'environ 250 otages, la réponse militaire d'Israël a emporté 42 000 Palestiniens.
Cette galerie présente ce qu'il reste de Gaza.
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