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Le pillage à des fins personnelles n'est pas autorisé
- Le pillage en temps de guerre n'est pas un phénomène récent, mais nous ne vivons plus à l'époque des Vikings. La règle 52 du droit international humanitaire (DIH) est claire et sans appel : le pillage est strictement interdit.
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Le pillage à des fins personnelles n'est pas autorisé
- Il y a cependant une nuance importante. Bien qu'il soit interdit de ramener des souvenirs personnels, la prise de fournitures pour des raisons de nécessité militaire ne constitue pas un gain personnel. La règle 49 du droit international humanitaire précise que "les parties au conflit peuvent saisir comme butin de guerre le matériel militaire appartenant à l'adversaire".
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Pas d'attaque surprise après un cessez-le-feu
- La règle 64 du DIH précise qu'il est interdit de conclure un accord de suspension des combats dans le but de surprendre et d'attaquer l'ennemi qui se fie à cet accord.
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Pas d'attaque surprise dans les zones civiles
- De plus, les attaques pouvant toucher des civils doivent être précédées d'un avertissement. La règle 20 précise que "chaque partie au conflit doit fournir un avertissement préalable efficace pour toute attaque susceptible d'affecter la population civile, sauf si les circonstances ne le permettent pas".
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Seules les cibles militaires peuvent être attaquées
- Les troupes ne doivent attaquer que des objectifs militaires. En vertu de la règle 16 du droit international humanitaire, les troupes "doivent faire tout ce qui est en leur pouvoir pour vérifier que les cibles sont des objectifs militaires".
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L'éloignement des civils est une priorité
- Les soldats doivent garantir la sécurité des civils avant de mener une attaque. La règle 24 du DIH stipule que "chaque partie au conflit doit, dans la mesure du possible, éloigner les civils et les biens sous son contrôle des zones proches des objectifs militaires".
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Pas d'attaques contre les hôpitaux, les zones de sécurité ou les zones neutralisées
- La règle 35 du droit international humanitaire est très claire lorsqu'il s'agit d'attaquer des lieux tels que les hôpitaux. Elle se lit comme suit : "Il est interdit de diriger une attaque contre une zone destinée à abriter les blessés, les malades et les personnes civiles des effets des hostilités".
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Pas d'attaques contre le personnel médical et religieux
- La règle 30 du droit international humanitaire est explicite : "Il est interdit de diriger des attaques contre le personnel médical et religieux ainsi que contre les objets arborant les signes distinctifs des Conventions de Genève, conformément au droit international".
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Les journalistes doivent être protégés...
- ... à moins qu'ils ne participent activement à la guerre. La règle 34 stipule que "les journalistes civils engagés dans des missions professionnelles dans des zones de conflit armé doivent être respectés et protégés tant qu'ils ne participent pas directement aux hostilités".
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Les terres agricoles ne peuvent être détruites
- La destruction des terres agricoles de l'ennemi est en fait un crime de guerre. En effet, la destruction des cultures, du bétail, des réserves d'eau et de tout ce qui peut affecter la survie des civils est interdite en temps de guerre.
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Les terres agricoles ne peuvent être détruites
- La règle 54 du DIH est claire à ce sujet : "Il est interdit d'attaquer, de détruire, d'enlever ou de rendre inutilisables les biens indispensables à la survie de la population civile".
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Les soldats doivent respecter l'environnement naturel
- La règle 45 du droit international humanitaire interdit les méthodes ou moyens de guerre qui "causent des dommages étendus, durables et graves à l'environnement naturel". Elle stipule également que "l'environnement naturel ne doit jamais être utilisé comme une arme".
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La famine en tant que méthode de guerre n'est pas autorisée
- La survie de la population civile est très importante et il est interdit d'affamer les gens. Outre la règle 54 susmentionnée, il existe également la règle 53, qui stipule que "l'utilisation de la famine comme arme est interdite".
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Les soldats ne peuvent pas porter de casque bleu
- Les soldats de la paix de l'Organisation des Nations unies (ONU) sont reconnaissables à leur casque bleu. Se faire passer pour des pacificateurs de l'ONU est interdit et constitue un crime de guerre appelé perfidie.
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Les symboles des groupes humanitaires ne peuvent pas être utilisés
- Utiliser des casques bleus pour tromper l'ennemi en prétendant être de bonne foi est considéré comme de la perfidie. De même, marquer des véhicules militaires avec les symboles de la Croix-Rouge ou du Croissant-Rouge à des fins de tromperie est interdit. La règle 65 du DIH précise que "tuer, blesser ou capturer un adversaire en recourant à la perfidie est prohibé".
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Pas d'utilisation abusive du drapeau blanc
- La règle 58 du droit international humanitaire interdit l'usage abusif du drapeau blanc de trêve. Selon le statut de la Cour pénale internationale, cet abus est qualifié de crime de guerre "dans les conflits armés internationaux lorsqu'il entraîne des pertes en vies humaines ou des blessures graves".
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Les soldats déguisés n'obtiendront pas le statut de prisonnier de guerre
- La règle 106 du droit international humanitaire stipule que "les combattants doivent se différencier clairement de la population civile lorsqu'ils participent à une attaque ou à des opérations préparatoires. S'ils ne respectent pas cette distinction, ils n'ont pas le droit de bénéficier du statut de prisonnier de guerre".
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Certaines menaces ne sont pas permises
- Accorder des quartiers, c'est-à-dire épargner la vie des ennemis capturés, est une règle fondamentale. La règle 46 du droit international humanitaire précise que "il est interdit d'ordonner de ne pas faire de quartier, de menacer un adversaire de le faire ou de mener des hostilités sur cette base".
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Certaines menaces ne sont pas permises
- Les soldats doivent faire quartier aux ennemis qui ont cessé de combattre, quelle qu'en soit la raison. Il n'est pas permis de tuer un ennemi ou de menacer de le faire dans de telles circonstances.
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Certaines insultes ne sont pas permises
- Un prisonnier de guerre a droit à la nourriture, à un abri et à un traitement humain. Le langage menaçant, y compris les insultes, est considéré comme inhumain et ne doit en aucun cas être utilisé.
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Les armes
- Les soldats doivent distinguer entre les troupes ennemies et les civils, et les armes qui ne permettent pas cette distinction ne sont pas autorisées. La règle 71 du droit international humanitaire précise que "l'utilisation d'armes qui, par leur nature, frappent sans discrimination est interdite".
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Les armes indiscriminées ne peuvent être utilisées
- Voici quelques exemples d'armes intrinsèquement indiscriminées : les armes chimiques, biologiques et nucléaires, les mines antipersonnel, les poisons, les explosifs lancés depuis des ballons, les fusées V-1 et V-2, les bombes à fragmentation, les missiles Scud, les fusées Katyusha, les armes incendiaires, ainsi que les techniques de modification de l'environnement.
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Pas de pièges
- Les pièges de type appât sont également considérés comme des armes indiscriminées, mais le droit international humanitaire leur consacre une règle spécifique en raison des risques qu'ils posent pour les civils. La règle 80 stipule que les objets ou les personnes bénéficiant d'une protection spéciale, tels que la nourriture ou les civils eux-mêmes, ou susceptibles d'attirer les civils, ne peuvent pas être utilisés pour préparer une attaque.
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Les soldats ne peuvent pas causer de blessures superflues ou de souffrances inutiles
- La règle 70 du droit international humanitaire stipule que "l'emploi de moyens et de méthodes de guerre de nature à causer des blessures superflues ou des souffrances inutiles est interdit". Cela inclut, par exemple, des armes telles que les lances à tête barbelée, les baïonnettes à bords dentelés, les balles expansives et explosives, ainsi que les armes qui causent des blessures principalement par des fragments non détectables aux rayons X, comme les projectiles chargés de verre brisé. Les armes incendiaires et les armes à laser aveuglantes sont également concernées, parmi d'autres types.
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Les soldats doivent toujours être là où ils sont censés être, et à l'heure
- Le respect des horaires est crucial dans l'armée. Aux États-Unis, le Code unifié de justice militaire (UCMJ) traite de ce sujet dans l'article 86. Selon cet article, un militaire est considéré comme étant "absent sans permission" s'il ne se présente pas à son unité, son organisation, ou son lieu de service à l'heure fixée par l'autorité compétente.
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Interdit de simuler
- La simulation de maladie ou de blessure pour éviter le travail ou le service est inacceptable. Selon l'article 83 de l'UCMJ, "toute personne soumise à ce chapitre qui feint une maladie, une incapacité physique, un trouble mental, ou qui se cause volontairement des blessures pour échapper à ses devoirs, sera punie selon les décisions de la cour martiale". De telles règles contre la simulation sont appliquées dans plusieurs pays, pas seulement aux États-Unis.
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Pas de duels
- Les duels étaient autrefois courants, mais ils sont désormais illégaux dans la plupart des pays, y compris pour les militaires. L'article 114 de l'UCMJ précise que "toute personne soumise à ce chapitre qui se bat ou organise un duel, participe à un duel, ou collabore à un duel, ou encore qui, ayant connaissance d'un défi, ne le signale pas rapidement à l'autorité compétente, sera punie selon les décisions de la cour martiale". Sources : (International Humanitarian Law Databases) (Uniform Code of Military Justice) (Grunge) Voir aussi : Ces nations n'ont pas de forces militaires
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Le pillage à des fins personnelles n'est pas autorisé
- Le pillage en temps de guerre n'est pas un phénomène récent, mais nous ne vivons plus à l'époque des Vikings. La règle 52 du droit international humanitaire (DIH) est claire et sans appel : le pillage est strictement interdit.
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Le pillage à des fins personnelles n'est pas autorisé
- Il y a cependant une nuance importante. Bien qu'il soit interdit de ramener des souvenirs personnels, la prise de fournitures pour des raisons de nécessité militaire ne constitue pas un gain personnel. La règle 49 du droit international humanitaire précise que "les parties au conflit peuvent saisir comme butin de guerre le matériel militaire appartenant à l'adversaire".
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Pas d'attaque surprise après un cessez-le-feu
- La règle 64 du DIH précise qu'il est interdit de conclure un accord de suspension des combats dans le but de surprendre et d'attaquer l'ennemi qui se fie à cet accord.
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Pas d'attaque surprise dans les zones civiles
- De plus, les attaques pouvant toucher des civils doivent être précédées d'un avertissement. La règle 20 précise que "chaque partie au conflit doit fournir un avertissement préalable efficace pour toute attaque susceptible d'affecter la population civile, sauf si les circonstances ne le permettent pas".
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Seules les cibles militaires peuvent être attaquées
- Les troupes ne doivent attaquer que des objectifs militaires. En vertu de la règle 16 du droit international humanitaire, les troupes "doivent faire tout ce qui est en leur pouvoir pour vérifier que les cibles sont des objectifs militaires".
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L'éloignement des civils est une priorité
- Les soldats doivent garantir la sécurité des civils avant de mener une attaque. La règle 24 du DIH stipule que "chaque partie au conflit doit, dans la mesure du possible, éloigner les civils et les biens sous son contrôle des zones proches des objectifs militaires".
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Pas d'attaques contre les hôpitaux, les zones de sécurité ou les zones neutralisées
- La règle 35 du droit international humanitaire est très claire lorsqu'il s'agit d'attaquer des lieux tels que les hôpitaux. Elle se lit comme suit : "Il est interdit de diriger une attaque contre une zone destinée à abriter les blessés, les malades et les personnes civiles des effets des hostilités".
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Pas d'attaques contre le personnel médical et religieux
- La règle 30 du droit international humanitaire est explicite : "Il est interdit de diriger des attaques contre le personnel médical et religieux ainsi que contre les objets arborant les signes distinctifs des Conventions de Genève, conformément au droit international".
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Les journalistes doivent être protégés...
- ... à moins qu'ils ne participent activement à la guerre. La règle 34 stipule que "les journalistes civils engagés dans des missions professionnelles dans des zones de conflit armé doivent être respectés et protégés tant qu'ils ne participent pas directement aux hostilités".
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Les terres agricoles ne peuvent être détruites
- La destruction des terres agricoles de l'ennemi est en fait un crime de guerre. En effet, la destruction des cultures, du bétail, des réserves d'eau et de tout ce qui peut affecter la survie des civils est interdite en temps de guerre.
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Les terres agricoles ne peuvent être détruites
- La règle 54 du DIH est claire à ce sujet : "Il est interdit d'attaquer, de détruire, d'enlever ou de rendre inutilisables les biens indispensables à la survie de la population civile".
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Les soldats doivent respecter l'environnement naturel
- La règle 45 du droit international humanitaire interdit les méthodes ou moyens de guerre qui "causent des dommages étendus, durables et graves à l'environnement naturel". Elle stipule également que "l'environnement naturel ne doit jamais être utilisé comme une arme".
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La famine en tant que méthode de guerre n'est pas autorisée
- La survie de la population civile est très importante et il est interdit d'affamer les gens. Outre la règle 54 susmentionnée, il existe également la règle 53, qui stipule que "l'utilisation de la famine comme arme est interdite".
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Les soldats ne peuvent pas porter de casque bleu
- Les soldats de la paix de l'Organisation des Nations unies (ONU) sont reconnaissables à leur casque bleu. Se faire passer pour des pacificateurs de l'ONU est interdit et constitue un crime de guerre appelé perfidie.
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Les symboles des groupes humanitaires ne peuvent pas être utilisés
- Utiliser des casques bleus pour tromper l'ennemi en prétendant être de bonne foi est considéré comme de la perfidie. De même, marquer des véhicules militaires avec les symboles de la Croix-Rouge ou du Croissant-Rouge à des fins de tromperie est interdit. La règle 65 du DIH précise que "tuer, blesser ou capturer un adversaire en recourant à la perfidie est prohibé".
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Pas d'utilisation abusive du drapeau blanc
- La règle 58 du droit international humanitaire interdit l'usage abusif du drapeau blanc de trêve. Selon le statut de la Cour pénale internationale, cet abus est qualifié de crime de guerre "dans les conflits armés internationaux lorsqu'il entraîne des pertes en vies humaines ou des blessures graves".
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Les soldats déguisés n'obtiendront pas le statut de prisonnier de guerre
- La règle 106 du droit international humanitaire stipule que "les combattants doivent se différencier clairement de la population civile lorsqu'ils participent à une attaque ou à des opérations préparatoires. S'ils ne respectent pas cette distinction, ils n'ont pas le droit de bénéficier du statut de prisonnier de guerre".
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Certaines menaces ne sont pas permises
- Accorder des quartiers, c'est-à-dire épargner la vie des ennemis capturés, est une règle fondamentale. La règle 46 du droit international humanitaire précise que "il est interdit d'ordonner de ne pas faire de quartier, de menacer un adversaire de le faire ou de mener des hostilités sur cette base".
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Certaines menaces ne sont pas permises
- Les soldats doivent faire quartier aux ennemis qui ont cessé de combattre, quelle qu'en soit la raison. Il n'est pas permis de tuer un ennemi ou de menacer de le faire dans de telles circonstances.
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Certaines insultes ne sont pas permises
- Un prisonnier de guerre a droit à la nourriture, à un abri et à un traitement humain. Le langage menaçant, y compris les insultes, est considéré comme inhumain et ne doit en aucun cas être utilisé.
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Les armes
- Les soldats doivent distinguer entre les troupes ennemies et les civils, et les armes qui ne permettent pas cette distinction ne sont pas autorisées. La règle 71 du droit international humanitaire précise que "l'utilisation d'armes qui, par leur nature, frappent sans discrimination est interdite".
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Les armes indiscriminées ne peuvent être utilisées
- Voici quelques exemples d'armes intrinsèquement indiscriminées : les armes chimiques, biologiques et nucléaires, les mines antipersonnel, les poisons, les explosifs lancés depuis des ballons, les fusées V-1 et V-2, les bombes à fragmentation, les missiles Scud, les fusées Katyusha, les armes incendiaires, ainsi que les techniques de modification de l'environnement.
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Pas de pièges
- Les pièges de type appât sont également considérés comme des armes indiscriminées, mais le droit international humanitaire leur consacre une règle spécifique en raison des risques qu'ils posent pour les civils. La règle 80 stipule que les objets ou les personnes bénéficiant d'une protection spéciale, tels que la nourriture ou les civils eux-mêmes, ou susceptibles d'attirer les civils, ne peuvent pas être utilisés pour préparer une attaque.
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Les soldats ne peuvent pas causer de blessures superflues ou de souffrances inutiles
- La règle 70 du droit international humanitaire stipule que "l'emploi de moyens et de méthodes de guerre de nature à causer des blessures superflues ou des souffrances inutiles est interdit". Cela inclut, par exemple, des armes telles que les lances à tête barbelée, les baïonnettes à bords dentelés, les balles expansives et explosives, ainsi que les armes qui causent des blessures principalement par des fragments non détectables aux rayons X, comme les projectiles chargés de verre brisé. Les armes incendiaires et les armes à laser aveuglantes sont également concernées, parmi d'autres types.
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Les soldats doivent toujours être là où ils sont censés être, et à l'heure
- Le respect des horaires est crucial dans l'armée. Aux États-Unis, le Code unifié de justice militaire (UCMJ) traite de ce sujet dans l'article 86. Selon cet article, un militaire est considéré comme étant "absent sans permission" s'il ne se présente pas à son unité, son organisation, ou son lieu de service à l'heure fixée par l'autorité compétente.
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Interdit de simuler
- La simulation de maladie ou de blessure pour éviter le travail ou le service est inacceptable. Selon l'article 83 de l'UCMJ, "toute personne soumise à ce chapitre qui feint une maladie, une incapacité physique, un trouble mental, ou qui se cause volontairement des blessures pour échapper à ses devoirs, sera punie selon les décisions de la cour martiale". De telles règles contre la simulation sont appliquées dans plusieurs pays, pas seulement aux États-Unis.
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Pas de duels
- Les duels étaient autrefois courants, mais ils sont désormais illégaux dans la plupart des pays, y compris pour les militaires. L'article 114 de l'UCMJ précise que "toute personne soumise à ce chapitre qui se bat ou organise un duel, participe à un duel, ou collabore à un duel, ou encore qui, ayant connaissance d'un défi, ne le signale pas rapidement à l'autorité compétente, sera punie selon les décisions de la cour martiale". Sources : (International Humanitarian Law Databases) (Uniform Code of Military Justice) (Grunge) Voir aussi : Ces nations n'ont pas de forces militaires
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Ces actions interdites aux soldats en temps de guerre
Voici quelques-unes des règles que les troupes doivent suivre
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Bien que le proverbe affirme que "en amour comme à la guerre, tous les coups sont permis", la réalité est bien différente en temps de conflit. Les soldats sont tenus de suivre un ensemble rigoureux de règles pendant les guerres, et enfreindre ces règles peut entraîner des accusations de crimes de guerre.Le droit international humanitaire, souvent décrit comme le "manuel des règles de la guerre", définit les lois régissant les conflits armés et encadre la conduite des combattants. Cliquez sur cette galerie pour découvrir une liste non-exhaustive des interdictions auxquelles les soldats doivent se conformer en temps de guerre.
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