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Une horreur inimaginable se cache derrière le mobilier urbain anti-SDF
- Au cœur de nos villes, un combat fait rage. Les concepteurs en urbanisme ont déclaré la guerre aux personnes les plus vulnérables de nos villes : les personnes sans domicile fixe (SDF). Durant des années, le paysage urbain a évolué de sorte à diviser des communautés entières et à rendre les espaces publics inutilisables par les personnes sans-abri. Ces conceptions urbaines sont le témoignage matériel de ces principes.
Curieux ? Cliquez sur la galerie pour découvrir comment le mobilier urbain anti-SDF nous néglige en réalité tous.
© Shutterstock
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Qu'est-ce ?
- Le mobilier urbain anti-SDF, aussi appelé architecture hostile, désigne un large nombre d'éléments de conception qui sont expressément ajoutés au paysage urbain pour dissuader les personnes sans-abri de venir s'y reposer ou de venir s'y abriter.
© Shutterstock
1 / 29 Fotos
Les caractéristiques
- Ce type de mobilier urbain se caractérise par des pics sur les rebords de murs, des bancs inclinés ou séparés par des accoudoirs, l'individualisation des assises, ou encore des matériaux inconfortables tels que du métal ou du béton. On retrouve ce type d'architecture à travers le monde entier et dans différents secteurs, allant de l'aménagement paysager à l'urbanisme.
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2 / 29 Fotos
Un objectif nuisible
- Le principal but de l'architecture hostile est de compliquer, voire de rendre impossible, l'accès à certaines pièces de mobilier urbain. De la sorte, les personnes sans-abri ne peuvent pas, ou difficilement, se reposer, s'asseoir ou s'installer confortablement. On retrouve fréquemment ce genre d'équipements dans les parcs, les abris de bus ou les passages souterrains, c'est-à-dire partout où les personnes sans-abri cherchent à trouver refuge.
© Shutterstock
3 / 29 Fotos
Une conception discrète
- Si certains équipements sont ouvertement hostiles, il y a d'autres pièces de mobilier urbain qui s'avèrent plus discrètes. L'architecture hostile peut être retrouvée sur les rebords de fenêtres ou balustrades.
© Shutterstock
4 / 29 Fotos
Pas un choix
- Ce genre de mesures renforce la marginalisation et l'exclusion des personnes sans-abri. Ce qui renforce encore plus la stigmatisation de leur présence dans l'espace public. Ces installations contribuent à généraliser la croyance selon laquelle ne pas avoir de domicile fixe serait un choix, alors que c'est en réalité une défaillance du système.
© Getty Images
5 / 29 Fotos
Déshumanisant
- Plutôt que de s'occuper du problème à la source, l'architecture hostile préfère fournir des solutions de surfaces qui négligent les réelles problématiques sociales. Les personnes sont ainsi incitées à croire qu'il est normal de déshumaniser les personnes sans-abri en les traitant comme s'ils étaient des parias alors que cela ne devrait pas être le cas.
© Getty Images
6 / 29 Fotos
La source du problème
- Ne pas avoir de domicile peut provenir du fait que les prix du logement sont trop élevés, de problèmes de santé mentale ou d'inégalités sociales. Tant que ces problèmes ne sont pas correctement traités, l'absence de domicile continuera à croître à vitesse grand V.
© Getty Images
7 / 29 Fotos
Le manque d'empathie
- Les critiques ont pointé du doigt le fait que l'existence du mobilier urbain anti-SDF risque de susciter un manque généralisé d'empathie et de compassion à l'égard des populations les plus vulnérables. Ainsi, les intérêts commerciaux et l'esthétisme seraient des valeurs considérées comme plus importantes que le bien-être et la santé des humains.
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8 / 29 Fotos
Une hausse du crime
- En traitant les personnes sans-abri comme des criminels, en se servant de l'architecture hostile, les personnes marginalisées sont précipitées vers des situations plus dangereuses et précaires encore. Ces personnes peuvent se retrouver contraintes à tomber dans le crime, dans l'espoir de réussir à s'assumer financièrement.
© Getty Images
9 / 29 Fotos
Un peuple divisé
- Les relations entre les différentes communautés peuvent rapidement être réduites à néant à cause de l'architecture hostile, dans la mesure où elle renforce les divisions entre les différents groupes sociaux-économiques.
© Getty Images
10 / 29 Fotos
Les droits de l'homme
- L'architecture hostile nous fait nous poser la question suivante : quelles sont les personnes qui méritent d'être protégées par les plus élémentaires des droits de l'homme et d'avoir le droit à la dignité ? Bien que nous pensions tous que tout le monde devrait y avoir accès, le mobilier urbain anti-SDF perpétue l'idée que les personnes sans-abri font exception à la règle.
© Getty Images
11 / 29 Fotos
New York City
- À New York City, l'architecture hostile s'est particulièrement beaucoup développée. On y dénombre 100 000 personnes sans domicile fixe, dont plus de 5 % vivent à la rue. Le mobilier urbain anti-SDF leur a rendu la vie plus difficile encore. Il y a même des stations de métro où les bancs ont été complètement supprimés dans le seul but d'empêcher les personnes sans-abri de venir s'y reposer.
© Getty Images
12 / 29 Fotos
Déplacer les populations de personnes sans-abri
- L'architecture hostile renforce les inégalités sociales en leur refusant l'accès aux droits fondamentaux, alors même qu'ils sont déjà en marge de la société. Dans l'actualité, les mesures de ce genre sont irréfléchies, sans vision à long terme et inefficaces puisqu'elles ne font que déplacer les personnes sans-abri d'un endroit vers un autre plutôt que s'attaquer aux bases du problème.
© Getty Images
13 / 29 Fotos
Les frontières sociales
- Le fait est que l'inclusion et la compassion que l'on pourrait espérer retrouver dans notre société est complètement sapée par l'architecture hostile, puisqu'elle établit des frontières physiques à l'encontre de personnes qui sont dans le besoin.
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14 / 29 Fotos
Un impact généralisé
- Le mobilier urbain anti-SDF a un autre impact fort regrettable : il n'impacte pas uniquement les personnes SDF. En généralisant les bancs individuels ou séparés par des accoudoirs, et les autres équipements de mobilier urbain anti-SDF, les gens ont tendance à abandonner leur utilisation. La suppression volontaire et totale des bancs dans certains espaces publics nuit aux personnes à mobilité réduite ou aux personnes plus âgées lorsqu'elles ont besoin de se reposer.
© Shutterstock
15 / 29 Fotos
La confiance
- On peut aussi citer une baisse de la confiance envers les institutions publiques et le gouvernement. En effet, l'architecture hostile fait partie des indicateurs qui soulignent leur manque d'empathie à l'égard des personnes vulnérables.
© Shutterstock
16 / 29 Fotos
Inégalités sociales
- L'architecture hostile est le reflet des comportements belliqueux des sociétés à l'égard de la pauvreté et des inégalités. Cette tendance renforce l'urgence d'un changement systémique. En effet, c'est un rappel visible des barrières structurelles qui empêchent les individus d'être pleinement acceptés au sein de la société.
© Getty Images
17 / 29 Fotos
Le cycle de destruction
- L'architecture hostile est une des nombreuses façons qui fait que les personnes sans-abri sont coincées dans un éternel cycle de pauvreté et de discrimination puisqu'elles se voient refusées le droit au repos, au refuge et au soutien communautaire.
© Getty Images
18 / 29 Fotos
La réévaluation politique
- Heureusement, les villes ont certaines solutions efficaces qui leur permettent de créer des environnements inclusifs. Les gouvernements et les autorités municipales devraient réévaluer et réviser les politiques publiques qui promeuvent ou autorisent l'implémentation du mobilier urbain anti-SDF.
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19 / 29 Fotos
L'engagement communautaire
- Une autre manière de s'occuper du problème de l'architecture hostile est d'inclure dans les débats et les prises de décision d'urbanisme les personnes sans-abri, des groupes de défense et des intervenants communautaires.
© Shutterstock
20 / 29 Fotos
La protection de la justice
- Les autorités peuvent aussi légiférer et réaliser des décrets pour protéger les droits des personnes sans-abri et leur offrir la possibilité d'accéder aux espaces publics sans qu'ils soient sujets à de la discrimination ou à du harcèlement.
© Getty Images
21 / 29 Fotos
Investir dans les services de soutien
- Une des meilleures manières de résoudre ce problème est d'investir et d'améliorer les services d'accompagnement aux personnes sans-abri. Cela comprend des coûts du logement moindres, un suivi psychologique et des programmes de réinsertion et de formations professionnels.
© Getty Images
22 / 29 Fotos
Des conceptions alternatives
- La société devrait encourager la conception d'un mobilier urbain inclusif qui met l'accent sur l'accessibilité, la sécurité et le confort des habitants, et ce, peu importe leur statut social.
© Shutterstock
23 / 29 Fotos
Des processus de conception collaboratifs
- Durant le processus de conception des espaces publics, une étroite collaboration entre les architectes, les aménageurs du territoire, des travailleurs sociaux et des défenseurs des personnes à la rue devrait être mise à l'honneur. De la sorte, les intérêts des diverses communautés pourraient converger.
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24 / 29 Fotos
Des solutions temporaires de logement
- Pour résoudre les problèmes d'absence de logement, une manière d'enclencher un cercle vertueux est de fournir des abris temporaires, des sanctuaires sécuritaires et des logements de transitions pour les personnes sans-abri pendant la construction de logements permanents.
© Getty Images
25 / 29 Fotos
Les partenariats entre les secteurs privé et public
- Il devrait également y avoir un encouragement des partenariats entre les agences gouvernementales, les organismes à but non lucratif et les entreprises privées pour coordonner les efforts et les ressources déployées. Ce n'est que main dans la main que les injustices sociales pourront être surmontées !
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26 / 29 Fotos
Des approches holistiques
- Il s'agit d'adopter des approches holistiques pour résoudre les causes à l'origine de l'absence de logement — telles que la pauvreté, les inégalités, les prix du logement excessifs et la discrimination systémique. Il est profitable à tous de voir le problème dans son ensemble en considérant l'architecture hostile comme le symptôme d'une vaste maladie.
© Getty Images
27 / 29 Fotos
Il n'est jamais trop tard
- Enfin, le mobilier urbain anti-SDF est la manifestation concrète de l'indifférence et du mépris portés à l'encontre des gens dans le besoin, ce qui met en exergue le manque de compassion et de solidarité de notre société. Mais il n'est jamais trop tard pour déconstruire les schémas mis en place et de tendre une main amicale aux personnes qui en ont besoin. Sources : (The New York Times) (The Neighborhood Design Center) (Big Issue) (The Bowery Mission) Découvrez aussi : Faim dans le monde: comment y mettre fin ?
© Getty Images
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Une horreur inimaginable se cache derrière le mobilier urbain anti-SDF
- Au cœur de nos villes, un combat fait rage. Les concepteurs en urbanisme ont déclaré la guerre aux personnes les plus vulnérables de nos villes : les personnes sans domicile fixe (SDF). Durant des années, le paysage urbain a évolué de sorte à diviser des communautés entières et à rendre les espaces publics inutilisables par les personnes sans-abri. Ces conceptions urbaines sont le témoignage matériel de ces principes.
Curieux ? Cliquez sur la galerie pour découvrir comment le mobilier urbain anti-SDF nous néglige en réalité tous.
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Qu'est-ce ?
- Le mobilier urbain anti-SDF, aussi appelé architecture hostile, désigne un large nombre d'éléments de conception qui sont expressément ajoutés au paysage urbain pour dissuader les personnes sans-abri de venir s'y reposer ou de venir s'y abriter.
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Les caractéristiques
- Ce type de mobilier urbain se caractérise par des pics sur les rebords de murs, des bancs inclinés ou séparés par des accoudoirs, l'individualisation des assises, ou encore des matériaux inconfortables tels que du métal ou du béton. On retrouve ce type d'architecture à travers le monde entier et dans différents secteurs, allant de l'aménagement paysager à l'urbanisme.
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Un objectif nuisible
- Le principal but de l'architecture hostile est de compliquer, voire de rendre impossible, l'accès à certaines pièces de mobilier urbain. De la sorte, les personnes sans-abri ne peuvent pas, ou difficilement, se reposer, s'asseoir ou s'installer confortablement. On retrouve fréquemment ce genre d'équipements dans les parcs, les abris de bus ou les passages souterrains, c'est-à-dire partout où les personnes sans-abri cherchent à trouver refuge.
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3 / 29 Fotos
Une conception discrète
- Si certains équipements sont ouvertement hostiles, il y a d'autres pièces de mobilier urbain qui s'avèrent plus discrètes. L'architecture hostile peut être retrouvée sur les rebords de fenêtres ou balustrades.
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4 / 29 Fotos
Pas un choix
- Ce genre de mesures renforce la marginalisation et l'exclusion des personnes sans-abri. Ce qui renforce encore plus la stigmatisation de leur présence dans l'espace public. Ces installations contribuent à généraliser la croyance selon laquelle ne pas avoir de domicile fixe serait un choix, alors que c'est en réalité une défaillance du système.
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5 / 29 Fotos
Déshumanisant
- Plutôt que de s'occuper du problème à la source, l'architecture hostile préfère fournir des solutions de surfaces qui négligent les réelles problématiques sociales. Les personnes sont ainsi incitées à croire qu'il est normal de déshumaniser les personnes sans-abri en les traitant comme s'ils étaient des parias alors que cela ne devrait pas être le cas.
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La source du problème
- Ne pas avoir de domicile peut provenir du fait que les prix du logement sont trop élevés, de problèmes de santé mentale ou d'inégalités sociales. Tant que ces problèmes ne sont pas correctement traités, l'absence de domicile continuera à croître à vitesse grand V.
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Le manque d'empathie
- Les critiques ont pointé du doigt le fait que l'existence du mobilier urbain anti-SDF risque de susciter un manque généralisé d'empathie et de compassion à l'égard des populations les plus vulnérables. Ainsi, les intérêts commerciaux et l'esthétisme seraient des valeurs considérées comme plus importantes que le bien-être et la santé des humains.
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8 / 29 Fotos
Une hausse du crime
- En traitant les personnes sans-abri comme des criminels, en se servant de l'architecture hostile, les personnes marginalisées sont précipitées vers des situations plus dangereuses et précaires encore. Ces personnes peuvent se retrouver contraintes à tomber dans le crime, dans l'espoir de réussir à s'assumer financièrement.
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9 / 29 Fotos
Un peuple divisé
- Les relations entre les différentes communautés peuvent rapidement être réduites à néant à cause de l'architecture hostile, dans la mesure où elle renforce les divisions entre les différents groupes sociaux-économiques.
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10 / 29 Fotos
Les droits de l'homme
- L'architecture hostile nous fait nous poser la question suivante : quelles sont les personnes qui méritent d'être protégées par les plus élémentaires des droits de l'homme et d'avoir le droit à la dignité ? Bien que nous pensions tous que tout le monde devrait y avoir accès, le mobilier urbain anti-SDF perpétue l'idée que les personnes sans-abri font exception à la règle.
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New York City
- À New York City, l'architecture hostile s'est particulièrement beaucoup développée. On y dénombre 100 000 personnes sans domicile fixe, dont plus de 5 % vivent à la rue. Le mobilier urbain anti-SDF leur a rendu la vie plus difficile encore. Il y a même des stations de métro où les bancs ont été complètement supprimés dans le seul but d'empêcher les personnes sans-abri de venir s'y reposer.
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Déplacer les populations de personnes sans-abri
- L'architecture hostile renforce les inégalités sociales en leur refusant l'accès aux droits fondamentaux, alors même qu'ils sont déjà en marge de la société. Dans l'actualité, les mesures de ce genre sont irréfléchies, sans vision à long terme et inefficaces puisqu'elles ne font que déplacer les personnes sans-abri d'un endroit vers un autre plutôt que s'attaquer aux bases du problème.
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Les frontières sociales
- Le fait est que l'inclusion et la compassion que l'on pourrait espérer retrouver dans notre société est complètement sapée par l'architecture hostile, puisqu'elle établit des frontières physiques à l'encontre de personnes qui sont dans le besoin.
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Un impact généralisé
- Le mobilier urbain anti-SDF a un autre impact fort regrettable : il n'impacte pas uniquement les personnes SDF. En généralisant les bancs individuels ou séparés par des accoudoirs, et les autres équipements de mobilier urbain anti-SDF, les gens ont tendance à abandonner leur utilisation. La suppression volontaire et totale des bancs dans certains espaces publics nuit aux personnes à mobilité réduite ou aux personnes plus âgées lorsqu'elles ont besoin de se reposer.
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La confiance
- On peut aussi citer une baisse de la confiance envers les institutions publiques et le gouvernement. En effet, l'architecture hostile fait partie des indicateurs qui soulignent leur manque d'empathie à l'égard des personnes vulnérables.
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16 / 29 Fotos
Inégalités sociales
- L'architecture hostile est le reflet des comportements belliqueux des sociétés à l'égard de la pauvreté et des inégalités. Cette tendance renforce l'urgence d'un changement systémique. En effet, c'est un rappel visible des barrières structurelles qui empêchent les individus d'être pleinement acceptés au sein de la société.
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17 / 29 Fotos
Le cycle de destruction
- L'architecture hostile est une des nombreuses façons qui fait que les personnes sans-abri sont coincées dans un éternel cycle de pauvreté et de discrimination puisqu'elles se voient refusées le droit au repos, au refuge et au soutien communautaire.
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18 / 29 Fotos
La réévaluation politique
- Heureusement, les villes ont certaines solutions efficaces qui leur permettent de créer des environnements inclusifs. Les gouvernements et les autorités municipales devraient réévaluer et réviser les politiques publiques qui promeuvent ou autorisent l'implémentation du mobilier urbain anti-SDF.
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19 / 29 Fotos
L'engagement communautaire
- Une autre manière de s'occuper du problème de l'architecture hostile est d'inclure dans les débats et les prises de décision d'urbanisme les personnes sans-abri, des groupes de défense et des intervenants communautaires.
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20 / 29 Fotos
La protection de la justice
- Les autorités peuvent aussi légiférer et réaliser des décrets pour protéger les droits des personnes sans-abri et leur offrir la possibilité d'accéder aux espaces publics sans qu'ils soient sujets à de la discrimination ou à du harcèlement.
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Investir dans les services de soutien
- Une des meilleures manières de résoudre ce problème est d'investir et d'améliorer les services d'accompagnement aux personnes sans-abri. Cela comprend des coûts du logement moindres, un suivi psychologique et des programmes de réinsertion et de formations professionnels.
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22 / 29 Fotos
Des conceptions alternatives
- La société devrait encourager la conception d'un mobilier urbain inclusif qui met l'accent sur l'accessibilité, la sécurité et le confort des habitants, et ce, peu importe leur statut social.
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Des processus de conception collaboratifs
- Durant le processus de conception des espaces publics, une étroite collaboration entre les architectes, les aménageurs du territoire, des travailleurs sociaux et des défenseurs des personnes à la rue devrait être mise à l'honneur. De la sorte, les intérêts des diverses communautés pourraient converger.
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Des solutions temporaires de logement
- Pour résoudre les problèmes d'absence de logement, une manière d'enclencher un cercle vertueux est de fournir des abris temporaires, des sanctuaires sécuritaires et des logements de transitions pour les personnes sans-abri pendant la construction de logements permanents.
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Les partenariats entre les secteurs privé et public
- Il devrait également y avoir un encouragement des partenariats entre les agences gouvernementales, les organismes à but non lucratif et les entreprises privées pour coordonner les efforts et les ressources déployées. Ce n'est que main dans la main que les injustices sociales pourront être surmontées !
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Des approches holistiques
- Il s'agit d'adopter des approches holistiques pour résoudre les causes à l'origine de l'absence de logement — telles que la pauvreté, les inégalités, les prix du logement excessifs et la discrimination systémique. Il est profitable à tous de voir le problème dans son ensemble en considérant l'architecture hostile comme le symptôme d'une vaste maladie.
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Il n'est jamais trop tard
- Enfin, le mobilier urbain anti-SDF est la manifestation concrète de l'indifférence et du mépris portés à l'encontre des gens dans le besoin, ce qui met en exergue le manque de compassion et de solidarité de notre société. Mais il n'est jamais trop tard pour déconstruire les schémas mis en place et de tendre une main amicale aux personnes qui en ont besoin. Sources : (The New York Times) (The Neighborhood Design Center) (Big Issue) (The Bowery Mission) Découvrez aussi : Faim dans le monde: comment y mettre fin ?
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Une horreur inimaginable se cache derrière le mobilier urbain anti-SDF
Pourquoi les espaces publics ne sont pas conçus pour tout le monde ?
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Au cœur de nos villes, un combat fait rage. Les concepteurs en urbanisme ont déclaré la guerre aux personnes les plus vulnérables de nos villes : les personnes sans domicile fixe (SDF). Durant des années, le paysage urbain a évolué de sorte à diviser des communautés entières et à rendre les espaces publics inutilisables par les personnes sans-abri. Ces conceptions urbaines sont le témoignage matériel de ces principes.
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