L'admirable collaboration entre l'Homme et l'animal
Le 7 août 2021, l'ambassade des États-Unis a demandé à ses ressortissants de quitter immédiatement l'Afghanistan. Il leur a été conseillé de prendre tous les vols commerciaux disponibles et de ne pas compter sur les vols du gouvernement américain.
Alors que les forces américaines et de l'OTAN se retiraient d'Afghanistan, les talibans ont rapidement conquis de vastes régions du pays. Face à leur progression vers la capitale, l'ambassade des États-Unis a vivement conseillé à ses citoyens de quitter le pays pour éviter d'être pris dans le conflit.
En février 2022, l'ambassade des États-Unis a demandé aux Américains de quitter immédiatement l'Ukraine en raison de l'escalade des tensions avec la Russie.
Au début de l'année 2022, la Russie avait massivement renforcé sa présence militaire le long de la frontière ukrainienne, ainsi qu'en Biélorussie et en Crimée occupée. Les services de renseignement américains ont correctement estimé qu'une invasion était probable, faisant craindre un conflit à grande échelle.
En avril 2023, l'ambassade des États-Unis à Khartoum a conseillé à ses ressortissants de quitter le Soudan en raison de l'éclatement de combats entre factions militaires rivales.
En 2023, un conflit interne a éclaté au Soudan, opposant principalement les Forces armées soudanaises (FAS) aux Forces de soutien rapide (FSR). Les combats ont provoqué une violence généralisée, poussant l'ambassade des États-Unis à avertir que l'escalade et l'imprévisibilité du conflit rendaient la situation dangereuse pour les citoyens américains.
En août 2023, l'ambassade des États-Unis à Port-au-Prince, la capitale d'Haïti, a vivement recommandé aux citoyens américains de quitter le pays au plus vite en raison de l'escalade de la violence des gangs et des troubles civils.
En 2023, Haïti a traversé une période de grande instabilité politique, marquée par un manque de gouvernance efficace. L'augmentation de la violence des gangs a entraîné une vague d'activités criminelles, notamment des enlèvements, des extorsions et des affrontements violents.
L'ambassade des États-Unis a conseillé aux Américains de quitter l'Éthiopie en novembre 2021 en raison de l'escalade du conflit entre les forces gouvernementales éthiopiennes et les rebelles du Tigré.
Le conflit du Tigré a éclaté en novembre 2020 entre le Front populaire de libération du Tigré (TPLF) et le gouvernement éthiopien. Tout au long de 2021, il s'est intensifié, provoquant une violence généralisée et mettant en danger la sécurité des citoyens américains.
En 2015, l'ambassade des États-Unis a suspendu ses activités au Yémen et a conseillé à ses citoyens de quitter le pays en raison de l'escalade de la violence et de la prise de la capitale par les rebelles houthis.
En 2015, le Yémen a été secoué par un conflit majeur entre les rebelles houthis et le gouvernement internationalement reconnu dirigé par le président Abdrabbo Mansour Hadi. L'ambassade des États-Unis a lancé un avertissement en raison de l'intensité croissante du conflit et des risques immédiats qu'il représentait pour les civils et les ressortissants étrangers.
En juillet 2014, l'ambassade des États-Unis a suspendu ses activités à Tripoli et a demandé à tous les citoyens américains de quitter le pays en raison de la détérioration des conditions de sécurité.
Après la chute de Mouammar Kadhafi en 2011, la Libye a plongé dans un conflit civil. En 2014, plusieurs milices se disputaient le pouvoir, entraînant une détérioration de la situation sécuritaire. L'ambassade a averti que cette escalade des violences rendait le séjour des citoyens américains dans le pays extrêmement dangereux.
En juillet 2016, l'ambassade des États-Unis à Juba a recommandé aux citoyens américains de quitter le Soudan du Sud en raison d'une résurgence de la violence dans la capitale.
En 2016, le Soudan du Sud a été confronté à une violence et une instabilité sévères, particulièrement en juillet, suite à l'éclatement des combats entre les forces loyales au président Salva Kiir et celles soutenant le vice-président de l'époque, Riek Machar.
En janvier 2019, l'ambassade des États-Unis à Caracas a conseillé aux citoyens américains de quitter le Venezuela en raison de l'aggravation des troubles civils.
Le Venezuela était en proie à une grave crise politique, marquée par une lutte pour le pouvoir entre le gouvernement du président Nicolás Maduro et le chef de l'opposition Juan Guaidó. Cette instabilité a engendré un environnement dangereux, posant des risques significatifs pour les citoyens américains.
Le 3 janvier 2020, un drone américain a éliminé Qassem Soleimani, général de division iranien, près de l'aéroport international de Bagdad. Suite à cette attaque, l'ambassade des États-Unis a immédiatement recommandé aux citoyens américains de quitter le pays.
Les États-Unis anticipaient une réaction de l'Iran, susceptible de cibler le personnel et les installations américaines en Irak. Conseiller aux citoyens américains de quitter le pays visait à minimiser le risque qu'ils soient pris dans d'éventuelles attaques.
En février 2012, l'ambassade des États-Unis a suspendu ses activités en Syrie et a exhorté tous les citoyens américains à quitter le pays en raison de l'intensification de la guerre civile.
La guerre civile syrienne, qui a débuté en 2011, s'est intensifiée en 2012. Le conflit entre le gouvernement syrien et divers groupes d'opposition, y compris des factions rebelles armées, a conduit à une violence généralisée, posant un risque grave pour les civils et les ressortissants étrangers.
Après le coup d'État militaire de janvier 2022, l'ambassade des États-Unis a recommandé aux citoyens américains de quitter le Burkina Faso. Elle a également exprimé des préoccupations concernant sa capacité à fournir une assistance consulaire en cas d'urgence.
Les troubles politiques et le coup d'État militaire ayant évincé le président Roch Marc Christian Kaboré ont exacerbé l'insécurité et l'incertitude au Burkina Faso. L'ambassade des États-Unis craignait que ces événements ne provoquent des troubles généralisés, rendant le pays dangereux pour les citoyens américains.
En 2006, l'ambassade des États-Unis a conseillé aux citoyens américains de quitter le Liban en raison de l'éclatement du conflit entre Israël et le Hezbollah.
En juillet 2006, des militants du Hezbollah ont lancé un raid transfrontalier en Israël et capturé deux soldats israéliens. Israël a réagi en lançant des opérations militaires de grande envergure au Liban. Il a été conseillé aux citoyens américains de quitter le pays en raison des menaces immédiates et graves qui pesaient sur leur sécurité.
En décembre 2013, l'ambassade des États-Unis a demandé à ses ressortissants de quitter la République centrafricaine en raison de la montée de la violence et des troubles civils.
En mars 2013, la coalition rebelle Séléka a renversé le président François Bozizé, entraînant un coup d'État et une grave instabilité politique. Cet événement a provoqué un effondrement de l'ordre public, plongeant le pays dans une situation imprévisible et dangereuse.
L'ambassade des États-Unis a conseillé aux citoyens américains de quitter le Zimbabwe en 2008 en raison des graves troubles politiques et de l'escalade de la violence liés à la crise de l'élection présidentielle.
L'élection présidentielle de 2008 au Zimbabwe, opposant le président Robert Mugabe au leader de l'opposition Morgan Tsvangirai, a été marquée par une intense controverse. Entre les deux tours, la violence politique s'est intensifiée, poussant l'ambassade des États-Unis à conseiller à ses ressortissants de quitter le pays en raison de l'escalade de la violence et des troubles politiques.
Sources : (US Department of State) (US Embassy) (CNN)
Voir aussi : L'augmentation inquiétante des conflits armés dans le monde
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L'ambassade des États-Unis a exhorté les citoyens américains à quitter ces pays
Toutes les fois où le gouvernement américain a estimé que les conditions étaient trop dangereuses pour ses citoyens
LIFESTYLE Guerre
En août 2024, les autorités américaines ont lancé une alerte urgente pour que leurs citoyens quittent le Liban, alors que la menace d'une guerre régionale au Moyen-Orient, exacerbée par l'assassinat du chef du Hamas, Ismaël Haniyeh, devenait de plus en plus pressante. Les États-Unis ont fréquemment publié des avertissements similaires lorsque la situation dans un pays devenait trop dangereuse pour leurs ressortissants.
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