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Diagnostic
- Plus de 6 % des Européens souffrent de dépression, mais beaucoup sont mal diagnostiqués, ce qui conduit souvent à des traitements inefficaces et coûteux, pouvant être extrêmement frustrants, voire nuisibles. Cela est dû au fait que de nombreux centres de santé mentale adoptent une approche par tâtonnements pour établir un diagnostic.
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Traitement
- De nombreux patients souffrant de dépression luttent pendant des années pour trouver un traitement efficace, passant par divers traitements et thérapies, ce qui peut être décourageant et retarder la guérison.
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Nouvelle approche de Stanford
- Les chercheurs de Stanford travaillent sur une méthode révolutionnaire pour améliorer le diagnostic de la dépression en identifiant des biomarqueurs uniques pour chaque type de dépression. Cela pourrait permettre des traitements ciblés et potentiellement transformer la manière dont la dépression est traitée.
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3 / 30 Fotos
Méthodologie
- En utilisant l'apprentissage automatique et l'imagerie cérébrale, l'équipe de Stanford a récemment analysé les cerveaux de centaines de patients pour identifier six sous-types distincts de dépression, appelés "biotypes".
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4 / 30 Fotos
Limites de la psychiatrie moderne
- Contrairement à d'autres domaines médicaux, la psychiatrie repose souvent sur des symptômes rapportés par les patients sans recours aux tests biologiques pour dresser un diagnostic. L'étude de Stanford souhaite changer cela en introduisant des diagnostics basés sur des critères biologiques.
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Traitements futurs
- Bien que l'étude soit encore à des années d'une application clinique, les professionnels de la santé mentale la considèrent comme une avancée prometteuse pour aller vers l'utilisation de scanners cérébraux pour diagnostiquer et traiter la dépression avec plus de précision, un peu comme les cardiologues utilisent les radiographies.
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Experts
- Les experts non impliqués dans l'étude ont salué cette recherche qui vise à utiliser des marqueurs biologiques mesurables qui pourraient optimiser le diagnostic et le traitement de la dépression.
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Dépression résistant aux traitements
- Malgré les interventions médicales, jusqu'à 30 % des patients souffrant de troubles mentaux ne voient pas leur état s'améliorer. De meilleurs outils de diagnostic sont nécessaires, et c'est là que l'étude de Stanford intervient.
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Technologie
- Les chercheurs de Stanford ont utilisé l'imagerie par résonance magnétique fonctionnelle (IRMf) pour étudier les régions et circuits cérébraux les plus associés à la dépression, notamment l'amygdale, l'hypothalamus, l'hippocampe et le cortex préfrontal.
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Circuits cérébraux
- Chaque biotype de dépression représente un dysfonctionnement dans un circuit cérébral spécifique, ce qui conduit à différents symptômes et à un type de dépression en particulier. Identifier ces circuits permet d'adapter le traitement au dysfonctionnement cérébral spécifique de l'individu.
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10 / 30 Fotos
Connexions rompues
- Les circuits cérébraux perturbés peuvent affecter l'attention, la mémoire, la flexibilité cognitive, la prise de décision, et même la régulation émotionnelle, tous contribuant aux divers symptômes observés dans la dépression.
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Participants aux études
- L'étude réalisée par Stanford a été menée en faisant un scanner du cerveau de plus de 800 participants diagnostiqués avec une dépression ou une anxiété, en analysant leur activité cérébrale à la fois au repos et lors de tâches cognitives et émotionnelles. Cette double approche n'avait jamais été réalisée auparavant.
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Six schémas distincts
- L'étude a identifié six schémas spécifiques de dysfonctionnement cérébral correspondant à six grands circuits cérébraux, chacun associé à un type de dépression. Voyons cela de plus près.
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13 / 30 Fotos
1. Réseau du mode par défaut
- Ce circuit cérébral est actif lors des processus mentaux internes comme l'introspection. Lorsqu'il est perturbé, cela affecte ces processus, pouvant mener à des symptômes comme la rumination et la difficulté à se détacher des pensées négatives.
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14 / 30 Fotos
2. Réseau de saillance
- Ce circuit aide à se concentrer sur les stimuli émotionnels majeurs. Sa perturbation peut conduire à une anxiété accrue et à des expériences sensorielles accablantes, fréquentes dans certaines formes de dépression.
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15 / 30 Fotos
3. Circuit de la récompense
- Ce circuit cérébral est crucial pour ressentir le plaisir et la motivation. Lorsqu'il est perturbé, cela peut entraîner un engourdissement émotionnel et une capacité limitée à ressentir de la joie ou de la satisfaction.
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16 / 30 Fotos
4. Circuit des affects négatifs
- Ce circuit traite et répond aux stimuli émotionnels négatifs. Une perturbation peut provoquer des réactions exagérées et prolongées aux émotions négatives, menant à une tristesse intense ou à la peur.
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17 / 30 Fotos
5. Circuit de l'attention
- Le circuit de l'attention (également appelé réseau fronto-pariétal) est responsable de la capacité à rester attentif. Une perturbation de ce circuit cérébral peut altérer la concentration, laquelle est essentielle pour le fonctionner au jour le jour.
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18 / 30 Fotos
6. Réseaux cognitifs
- Le dernier circuit cérébral sous-tend les fonctions exécutives telles que la mémoire de travail, la planification et le contrôle des pensées. Sa perturbation peut rendre la prise de décision et la capacité à planifier des choses compliquées, ce qui contribue aux symptômes cognitifs de la dépression.
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19 / 30 Fotos
Traitements sur-mesure
- Identifier le biotype spécifique d'une personne souffrant de dépression permet de prescrire un traitement personnalisé. Par exemple, un patient avec un circuit de contrôle cognitif perturbé pourrait bénéficier davantage de thérapies cognitives que de la prise de certains médicaments.
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Impact du traitement
- L'étude a montré que les patients avec différents biotypes répondaient différemment aux traitements. Certains biotypes ont bien réagi à des antidépresseurs en particulier, tandis que d'autres ont davantage bénéficié de la psychothérapie.
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Reproduction
- Bien que l'étude soit prometteuse, les experts ont souligné la nécessité de reproduire l'étude sur des populations diversifiées et avec des options de traitement plus variées afin de vérifier les conclusions de l'étude.
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22 / 30 Fotos
Limites
- Un des problèmes liés à l'étude est que la plupart des participants étaient blancs. Cela a soulevé des préoccupations quant à l'exactitude de l'étude lorsqu'on la compare à des populations plus diversifiées. Les chercheurs espèrent combler cette lacune avec de futures recherches.
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23 / 30 Fotos
Accès à l'IRMf
- Un défi majeur pour ce type de traitement est l'accès limité et coûteux aux machines IRMf, disponibles principalement dans les grands centres médicaux. Les conclusions de l'étude pourraient freiner une application des découvertes à grande échelle.
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24 / 30 Fotos
Assurances
- En raison du coût élevé des scans IRMf, les compagnies d'assurance sont peu susceptibles de les couvrir tant que davantage de recherches ne prouveront pas leur fiabilité pour prescrire un traitement efficace de la dépression. Cela constitue un autre obstacle à la mise en œuvre de ce traitement.
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25 / 30 Fotos
Cardiologie
- L'objectif est de rendre le traitement de la dépression aussi précis que celui de la cardiologie, où les médecins utilisent des marqueurs biologiques dans le cerveau pour guider le traitement. Cela pourrait être révolutionnaire et conduire à des résultats plus prévisibles et fructueux en matière de soins de santé mentale.
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26 / 30 Fotos
Limiter les mauvais diagnostics
- En s'éloignant des seuls symptômes rapportés par les patients et en se rapprochant des diagnostics basés sur des critères biologiques, le risque de faux diagnostic et de traitement inefficace pourrait être considérablement réduit, ce qui profiterait grandement aux patients.
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27 / 30 Fotos
Innovation
- Jusqu'à très récemment, la dépression et les problèmes de santé mentale étaient largement laissés sans recherche appropriée. Cette étude encourage l'innovation dans le traitement de la santé mentale, poussant le domaine à intégrer des technologies plus avancées pour aider les gens.
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28 / 30 Fotos
À l'avenir
- L'étude de Stanford a jeté les bases pour de futures recherches visant à explorer d'autres biotypes propres à la dépression et options de traitement et populations, avec pour but ultime le développement d'une approche complètement personnalisée dans le cadre de la santé mentale. Sources : (National Geographic) (Stanford Medicine) (WebMD) (CNN) Découvrez aussi : Dépression : les signes subtils à reconnaître
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Diagnostic
- Plus de 6 % des Européens souffrent de dépression, mais beaucoup sont mal diagnostiqués, ce qui conduit souvent à des traitements inefficaces et coûteux, pouvant être extrêmement frustrants, voire nuisibles. Cela est dû au fait que de nombreux centres de santé mentale adoptent une approche par tâtonnements pour établir un diagnostic.
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Traitement
- De nombreux patients souffrant de dépression luttent pendant des années pour trouver un traitement efficace, passant par divers traitements et thérapies, ce qui peut être décourageant et retarder la guérison.
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2 / 30 Fotos
Nouvelle approche de Stanford
- Les chercheurs de Stanford travaillent sur une méthode révolutionnaire pour améliorer le diagnostic de la dépression en identifiant des biomarqueurs uniques pour chaque type de dépression. Cela pourrait permettre des traitements ciblés et potentiellement transformer la manière dont la dépression est traitée.
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Méthodologie
- En utilisant l'apprentissage automatique et l'imagerie cérébrale, l'équipe de Stanford a récemment analysé les cerveaux de centaines de patients pour identifier six sous-types distincts de dépression, appelés "biotypes".
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Limites de la psychiatrie moderne
- Contrairement à d'autres domaines médicaux, la psychiatrie repose souvent sur des symptômes rapportés par les patients sans recours aux tests biologiques pour dresser un diagnostic. L'étude de Stanford souhaite changer cela en introduisant des diagnostics basés sur des critères biologiques.
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5 / 30 Fotos
Traitements futurs
- Bien que l'étude soit encore à des années d'une application clinique, les professionnels de la santé mentale la considèrent comme une avancée prometteuse pour aller vers l'utilisation de scanners cérébraux pour diagnostiquer et traiter la dépression avec plus de précision, un peu comme les cardiologues utilisent les radiographies.
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Experts
- Les experts non impliqués dans l'étude ont salué cette recherche qui vise à utiliser des marqueurs biologiques mesurables qui pourraient optimiser le diagnostic et le traitement de la dépression.
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7 / 30 Fotos
Dépression résistant aux traitements
- Malgré les interventions médicales, jusqu'à 30 % des patients souffrant de troubles mentaux ne voient pas leur état s'améliorer. De meilleurs outils de diagnostic sont nécessaires, et c'est là que l'étude de Stanford intervient.
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8 / 30 Fotos
Technologie
- Les chercheurs de Stanford ont utilisé l'imagerie par résonance magnétique fonctionnelle (IRMf) pour étudier les régions et circuits cérébraux les plus associés à la dépression, notamment l'amygdale, l'hypothalamus, l'hippocampe et le cortex préfrontal.
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Circuits cérébraux
- Chaque biotype de dépression représente un dysfonctionnement dans un circuit cérébral spécifique, ce qui conduit à différents symptômes et à un type de dépression en particulier. Identifier ces circuits permet d'adapter le traitement au dysfonctionnement cérébral spécifique de l'individu.
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10 / 30 Fotos
Connexions rompues
- Les circuits cérébraux perturbés peuvent affecter l'attention, la mémoire, la flexibilité cognitive, la prise de décision, et même la régulation émotionnelle, tous contribuant aux divers symptômes observés dans la dépression.
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Participants aux études
- L'étude réalisée par Stanford a été menée en faisant un scanner du cerveau de plus de 800 participants diagnostiqués avec une dépression ou une anxiété, en analysant leur activité cérébrale à la fois au repos et lors de tâches cognitives et émotionnelles. Cette double approche n'avait jamais été réalisée auparavant.
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Six schémas distincts
- L'étude a identifié six schémas spécifiques de dysfonctionnement cérébral correspondant à six grands circuits cérébraux, chacun associé à un type de dépression. Voyons cela de plus près.
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13 / 30 Fotos
1. Réseau du mode par défaut
- Ce circuit cérébral est actif lors des processus mentaux internes comme l'introspection. Lorsqu'il est perturbé, cela affecte ces processus, pouvant mener à des symptômes comme la rumination et la difficulté à se détacher des pensées négatives.
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2. Réseau de saillance
- Ce circuit aide à se concentrer sur les stimuli émotionnels majeurs. Sa perturbation peut conduire à une anxiété accrue et à des expériences sensorielles accablantes, fréquentes dans certaines formes de dépression.
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3. Circuit de la récompense
- Ce circuit cérébral est crucial pour ressentir le plaisir et la motivation. Lorsqu'il est perturbé, cela peut entraîner un engourdissement émotionnel et une capacité limitée à ressentir de la joie ou de la satisfaction.
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4. Circuit des affects négatifs
- Ce circuit traite et répond aux stimuli émotionnels négatifs. Une perturbation peut provoquer des réactions exagérées et prolongées aux émotions négatives, menant à une tristesse intense ou à la peur.
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5. Circuit de l'attention
- Le circuit de l'attention (également appelé réseau fronto-pariétal) est responsable de la capacité à rester attentif. Une perturbation de ce circuit cérébral peut altérer la concentration, laquelle est essentielle pour le fonctionner au jour le jour.
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6. Réseaux cognitifs
- Le dernier circuit cérébral sous-tend les fonctions exécutives telles que la mémoire de travail, la planification et le contrôle des pensées. Sa perturbation peut rendre la prise de décision et la capacité à planifier des choses compliquées, ce qui contribue aux symptômes cognitifs de la dépression.
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Traitements sur-mesure
- Identifier le biotype spécifique d'une personne souffrant de dépression permet de prescrire un traitement personnalisé. Par exemple, un patient avec un circuit de contrôle cognitif perturbé pourrait bénéficier davantage de thérapies cognitives que de la prise de certains médicaments.
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Impact du traitement
- L'étude a montré que les patients avec différents biotypes répondaient différemment aux traitements. Certains biotypes ont bien réagi à des antidépresseurs en particulier, tandis que d'autres ont davantage bénéficié de la psychothérapie.
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Reproduction
- Bien que l'étude soit prometteuse, les experts ont souligné la nécessité de reproduire l'étude sur des populations diversifiées et avec des options de traitement plus variées afin de vérifier les conclusions de l'étude.
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Limites
- Un des problèmes liés à l'étude est que la plupart des participants étaient blancs. Cela a soulevé des préoccupations quant à l'exactitude de l'étude lorsqu'on la compare à des populations plus diversifiées. Les chercheurs espèrent combler cette lacune avec de futures recherches.
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23 / 30 Fotos
Accès à l'IRMf
- Un défi majeur pour ce type de traitement est l'accès limité et coûteux aux machines IRMf, disponibles principalement dans les grands centres médicaux. Les conclusions de l'étude pourraient freiner une application des découvertes à grande échelle.
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Assurances
- En raison du coût élevé des scans IRMf, les compagnies d'assurance sont peu susceptibles de les couvrir tant que davantage de recherches ne prouveront pas leur fiabilité pour prescrire un traitement efficace de la dépression. Cela constitue un autre obstacle à la mise en œuvre de ce traitement.
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Cardiologie
- L'objectif est de rendre le traitement de la dépression aussi précis que celui de la cardiologie, où les médecins utilisent des marqueurs biologiques dans le cerveau pour guider le traitement. Cela pourrait être révolutionnaire et conduire à des résultats plus prévisibles et fructueux en matière de soins de santé mentale.
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Limiter les mauvais diagnostics
- En s'éloignant des seuls symptômes rapportés par les patients et en se rapprochant des diagnostics basés sur des critères biologiques, le risque de faux diagnostic et de traitement inefficace pourrait être considérablement réduit, ce qui profiterait grandement aux patients.
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Innovation
- Jusqu'à très récemment, la dépression et les problèmes de santé mentale étaient largement laissés sans recherche appropriée. Cette étude encourage l'innovation dans le traitement de la santé mentale, poussant le domaine à intégrer des technologies plus avancées pour aider les gens.
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À l'avenir
- L'étude de Stanford a jeté les bases pour de futures recherches visant à explorer d'autres biotypes propres à la dépression et options de traitement et populations, avec pour but ultime le développement d'une approche complètement personnalisée dans le cadre de la santé mentale. Sources : (National Geographic) (Stanford Medicine) (WebMD) (CNN) Découvrez aussi : Dépression : les signes subtils à reconnaître
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Découvrez les six types de dépression, d'après la science
Ce que les nouvelles études scientifiques nous disent et comment elles forgent un avenir meilleur concernant la santé mentale
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La santé mentale a toujours été une énigme. En raison de la complexité du cerveau humain, il est souvent difficile de comprendre les subtilités de son fonctionnement et de ce qui se passe lorsqu'il ne fonctionne pas correctement. La dépression, en particulier, a tourmenté les gens pendant des siècles, mais de nouvelles études et de nouvelles technologies peuvent enfin venir au secours des scientifiques pour les aider à comprendre non seulement les signes de la dépression, mais aussi les pistes potentielles pour traiter les différentes formes de cette maladie.
Une étude menée par la Stanford Medicine a notamment permis de mieux comprendre les diverses formes que peut prendre la dépression. Curieux ? Parcourez cette galerie pour en savoir plus.
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