Les plus grands scandales de dopage du Tour de France -

La réputation du cyclisme international a été inextricablement salie par la pratique du dopage, et le Tour de France en a fait les frais. 

Lance Amstrong est sans doute le plus célèbre nom associé au dopage au sein de la Grande Boucle, bien qu'il soit loin d'être le premier, ni le dernier. Découvrez, ou redécouvrez, les plus grands scandales de l'histoire de la compétition!

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Lance Armstrong (États-Unis) - Sans doute qu'aucun autre cycliste n'est plus célèbre pour le dopage que l'Américain Lance Amstrong. 

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Lance Armstrong (États-Unis) - Ses 7 victoires consécutives au Tour de France (1999, 2000, 2001, 2002, 2003, 2004, et 2005) ont toutes été annulées quand il a été prouvé que le cycliste avait eu recourt à des produits dopants durant la quasi totalité de sa carrière.

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Lance Armstrong (États-Unis) - Après de nombreuses enquêtes et démentis, Lance Armstrong a finalement avoué avoir eu recours au dopage lors d'une interview accordée à Oprah Winfrey, le 17 janvier 2013.

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Tom Simpson (Grande-Bretagne) - Simpson était un cycliste britannique de premier plan dans les années 1950 et 1960, mort tragiquement sur le mont Ventoux lors de la 13e étape du Tour de France, à seulement 29 ans, en 1967.

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Tom Simpson (Grande-Bretagne) - Une autopsie a révélé qu'il avait ingéré des amphétamines et de l'alcool, un mélange qui s'est révélé fatal lorsqu'il a été combiné aux températures élevées de cette journée et à l'épuisement.

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Jacques Anquetil (France) - Au cours de sa carrière dans les années 1950 et 1960 (années durant lesquelles il a remporté le Tour de France à cinq reprises), le cycliste français a ouvertement déclaré qu'il pensait qu'utiliser des produits stimulants était autorisé.

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Jacques Anquetil (France) - Bien que son propre usage de drogue n'ait jamais été publiquement prouvé, son attitude ouverte à cet égard était une des principales raisons pour lesquelles il a fini par être exclut des grandes équipes, et est mort dans une relative indifférence du monde du cyclisme.

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Eddy Merckx (Belgique) - Le cycliste belge a gagné le Tour de France cinq fois, remportant un total de 34 étapes de cette course au cours de sa carrière, soit le plus grand nombre d'étapes jamais remportées par un concurrent du Tour de France. 

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Eddy Merckx (Belgique) - Merckx a été testé positif aux produits dopants à trois reprises au cours de sa carrière de cycliste mais jamais sur le Tour de France. 

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Joop Zoetemelk (Pays-Bas) - Le cycliste hollandais s'est fait prendre pour dopage sanguin en 1977, 1978, 1979, et 1983. Cependant, l'année de sa victoire au Tour de France en 1980, les résultats des tests de dopage étaient négatifs. 

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Joop Zoetemelk (Pays-Bas) - Zoetemelk (À gauche sur la photo) a déclaré que les traces de dopage sanguin provenaient d'un traitement prescris pour l'anémie à la suite d'un grave accident en 1974, selon Cyclingnews.com.

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Felice Gimondi (Italie) - Gimondi (Troisième à gauche avec çe micro) a été testé positif au dopage à deux reprises au cours de sa carrière. 

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Felice Gimondi (Italie) - Une première fois en 1968 dans le cadre du Giro d'Italie et une seconde fois en 1975 lors du Tour de France, après la 15ème étape. 

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Bernard Thévenet (France) - Bernard Thévenet a remporté le Tour de France deux fois, en 1975 et en 1977. 

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Bernard Thévenet (France) - Même s'il n'a jamais été testé positivement au dopage au cours de sa carrière, il a admis plus tard avoir eu recours à la cortisone stéroïdienne lors de ses deux victoires au Tour de France.

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Laurent Fignon (France) - Laurent Fignon a été le grand vainqueur du Tour de France en 1983 et 1984. 

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Laurent Fignon (France) - Bien qu'il n'ait jamais été impliqué dans une quelconque affaire de dopage sur le Tour de France, il a été testé positif aux amphétamines dans d'autres courses, une fois en 1987 et une fois en 1989.

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Marco Pantani (Italie) - Connu sous le surnom de "Il Pirata" ("Le Pirate") pour son style de course agressif et ses boucles d'oreilles qu'il portait souvent, Pantani a été impliqué dans beaucoup de scandales médiatiques liés au dopage à partir de 1999.

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Marco Pantani (Italie) - Il a durement bataillé pour effacer sa réputation et faire face à la violence des critiques. En 2004, il a été retrouvé mort dans un hôtel après avoir succombé à une overdose de cocaïne. 

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Bjarne Riis (Danemark) - Grand gagnant du Tour de France 1996, le cycliste danois a admis s'être dopé à l'EPO de 1993 à 1998. 

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Bjarne Riis (Danemark) - Il a été rayé du livre des records puis y a fait son retour en 2008. Aujourd'hui, Bjarne Riis travaille toujours comme dirigeant au sein d'une équipe cycliste professionnelle.

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Jan Ullrich (Allemagne) - Le coureur allemand a connu une baisse de carrière après avoir été disqualifié du Tour de France 2006. .

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Jan Ullrich (Allemagne) - En 2007, presque 10 ans après sa victoire du Tour de France, Jan Ullrich annonçait la fin de sa carrière de cycliste professionnel. 

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Floyd Landis (États-Unis) - Outre les accusations de dopage d'Armstrong, un autre pilote américain a été pris dans le tourbillon du dopage: Floyd Landis.

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Floyd Landis (États-Unis) - Floyd Landis a remporté le Tour de France en 2006 mais a été destitué une semaine plus tard suite à un dépistage effectué à la 17e étape de la course, celui-ci ayant prouvé qu'il était dopé (les résultats étaient différés). Il a pris sa retraite de cycliste professionnel en 2011.

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Denis Menchov (Russie) -

Denis Menchov a annoncé sa retraite en mai 2013 en citant comme raison un problème au genou. Mais en 2014, il a été révélé que l'Union cycliste internationale avait suspendu le cycliste russe en mars 2013 après avoir fait état de résultats sanguins anormaux, selon Cyclingnews.com.

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Denis Menchov (Russie) - Il a ensuite été destitué de ses résultats au Tour de France 2009 (51ème), 2010 (2ème) et 2012 (15ème). Depuis, il n'est jamais revenu sur la scène cycliste professionnelle. 

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Bernhard Kohl (Autriche) - Bernhard Kohl a terminé 3e du classement général du Tour de France en 2008 et a également remporté le fameux maillot à pois pour être arrivé premier au classement de montagne la même année. 

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Bernhard Kohl (Autriche) - Cependant, il a été destitué de ses deux titres après qu'on a découvert qu'il avait pris de l'EPO pendant la course. Il a admis les accusations et a pris sa retraite sportive en 2009.

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Alberto Contador (Espagne) - Le nom d'Alberto Contador a été terni par plusieurs accusations de dopage, dont l'affaire Operación Puerto en 2006. 

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Alberto Contador (Espagne) - Lors du Tour de France en 2010, il a été découvert que les échantillons d'urine d'Alberto Contador contenaient des traces de clenbutérol après quoi il a été destitué de son maillot jaune de 2010, ainsi que de sa 5e place en 2011.

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