54 ans du Prince Laurent: ses plus belles bourdes - Véritable électron libre, le prince Laurent est connu pour être rebelle, quitte à parfois se mettre à dos le Gouvernement belge. Considéré comme le vilain petit canard de la Monarchie, on le surnomme souvent le mal-aimé ou encore le Prince têtu et ce, vous le verrez, à juste titre! Cliquez pour découvrir les moments les plus embarrassants de l'enfant terrible de la famille royale.

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Affaire IRGT - En 1994, le prince Laurent est élu président de l'IRGT (Institut pour la gestion durable des ressources naturelles et la promotion des technologies propres) en collaboration avec les Régions, qui versaient aides et salaires.

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Affaire IRGT - C'est en sa qualité de Président qu'il aurait perçu la somme de 320 000 euros, soit l'équivalent de 80% des aides accordées à l'ASBL.

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Affaire IRGT - Les Région s'étaient engagées à verser ce montant car le prince Laurent ne percevait pas encore de dotation. Cependant, l'affaire de fraude à la Marine, dans laquelle le Prince sera mêlé, va grandement ternir sa relation avec les Régions et interférer dans sa présidence.

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Affaire IRGT - En effet, les Régions ont décidé de fortement diminuer ses aides à l'IRGT, considérant que l'ASBL fut entachée par l'implication du Prince dans l'affaire de fraude à la Marine. L'ASBL traversera une forte période de crise financière suite à ces événements.

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Infraction au code de la route - Le Prince semble aussi avoir du mal à respecter le code de la route.

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Excès de vitesse - En 1999, Laurent a commis deux infractions au code de la route, dont l'excès de vitesse. Il a réitéré ces deux infractions en 2002.

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Rénovation et histoire de fraude - Retour sur le cas de fraude au sein de la Marine belge, où le prince Laurent fut appelé comme témoin au tribunal. L'ancien conseiller du Prince,  le colonel Noël Vaessen, fut condamné et avait avoué que sur les fonds estimés à 2,5 millions d'euros, une partie avait été détournée pour payer les rénovations d'un demeure de Laurent.

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Rénovation et histoire de fraude - Ce serait via de fausses factures, que la Villa Clémentine du Prince a été rénovée. Bien qu'il a été prouvé que Laurent savait que l'argent de ces travaux provenait de la Marine, il a cependant affirmé qu'il en ignorait l'origine frauduleuse.

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Prince rebelle - Le prince Laurent n'a jamais dérogé à sa réputation de rebelle et a toujours été un électron libre, faisant fi des protocoles en accord avec le Gouvernement. 

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Cas de la Libye - Dans la liste des reproches faites au Prince, ses visites fréquentes en Libye entre 2000 et 2010 en font partie.

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Cas de la Libye - En effet, Laurent s'est rendu plusieurs fois dans ce pays sans l'accord du Gouvernement belge et s'est entretenu maintes fois avec le colonel Kadhafi.

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Cas de la Libye -

Le Prince se serait rendu sur place pour des projets en matière de développement durable, au sein du "Global Sustainable Development Trust".

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Nouvel excès - En 2011, Laurent a encore eu le pied lourd et a été flashé à 82km/h sur une chaussée limitée à 50km/h. 

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Brussels Airlines - Laurent, Prince radin? En 2011, il décide de s'offrir un upgrade en business class alors qu'il détenait un ticket en classe économique.

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Visite en RDC - En mars 2011, Laurent réitère ses visites sans l'accord du Gouvernement et se rend au Congo où il rencontre le président Joseph Kabila.

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"Imprudent" - L'ex-Premier ministre Yves Leterme, parla de ces événements comme étant "une grande imprudence" et "une contradiction avec les règles".

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Violence - En 2011, une femme qui répond au nom de Diane de Schaetzen déclare publiquement à la RTBF dans l’émission “Question à la Une”, qu’elle aurait été violentée par le prince Laurent.

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Spéculation - Ce ne serait d’ailleurs pas la première fois que surviennent des spéculations de violence de la part de Laurent à l'encontre des femmes.

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Passif - Dans un ouvrage du journaliste Thierry Debels, qui repose sur le témoignage de Noël Vaessen, ex-conseiller du prince Laurent, il aurait déjà commis des actes de violence à l'encontre de ses ex-compagnes.

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Victime - Toujours selon l'ouvrage Thierry Debels, l'une d’entre elles aurait même passé un séjour à l’hôpital!

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Angola - En 2013, un nouvel incident diplomatique survient quand le Prince décide de prendre contact avec plusieurs dirigeants angolais, sans l'accord du Gouvernement, encore une fois.

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"Emmerdé" - Celui que l'on considère comme étant le vilain petit canard de la famille royale est connu pour ne pas avoir sa langue dans sa poche. En 2016, il déclarait être "emmerdé depuis des années."

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Frustration - Il a en effet déclaré: ”Moi, je suis emmerdé depuis des années, on m’empêche de travailler, de faire fonctionner ma fondation [...] J’ai dans ma vie beaucoup plus payé à l’Etat que l’Etat ne m’a payé à moi [...] Si certains politiques me foutaient la paix, si ma famille me foutait la paix, je pourrais vous assurer que mes bilans sont excellents sur le plan financier."

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Débordement - En 2016, le Prince retourne dans ses travers et convient d'une visite avec le Premier ministre du Sri Lanka, Ranil Wickremesinghe, et ce sans l'approbation du Ministre des Affaires étrangères, Didier Reynders.

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Avertissement - Ce nouvel incident ternit encore plus sa relation avec les dirigeants du Gouvernement, et le Premier ministre, Charles Michel, le menacera ensuite de réduire sa dotation s'il refusait de coopérer.

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La goutte de trop - En 2017, Il se fait photographier en uniforme de l'armée à l’ambassade de Chine. Encore une visite non protocolaire et non approuvée par le Gouvernement . C’est suite à cet incident que le Gouvernement a décidé de réduire sa dotation de 15% pour 2018.

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15% - Cette baisse de dotation n'a pas plu au Prince qui a largement médiatisé son mécontentement. Il avait également contesté, sans succès, cette sanction pécuniaire de 46.200 euros sur sa dotation de base de 308.00 euros.

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